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17 au 19 mai - Festival Remp'Arts à Azemmour Visuel20
28/11 - Cinéma :
Mois du documentaire
en présence de sa fille Lylia Ennadre


19 heures
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La Corniche
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17 au 19 mai - Festival Remp'Arts à Azemmour 90283610
05/12 - Cinéma :
19 heures
CinéAtlas
La Corniche
El Jadida

Institut français El Jadida


17 au 19 mai - Festival Remp'Arts à Azemmour Captur14
18/12 - Rencontre littéraire
avec
animée par
Abdelali Errehouni


18 heures 30
Complexe culturel Abdelhak El Kadiri
Institut français El Jadida



17 au 19 mai - Festival Remp'Arts à Azemmour Animal11
19/12 - Cinéma :
mois du documentaire
un film de Cyril Dion


19 heures
CineAtlas
La Corniche
Institut français El Jadida

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    alain
    alain
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    17 au 19 mai - Festival Remp'Arts à Azemmour Empty 17 au 19 mai - Festival Remp'Arts à Azemmour

    Ven 26 Avr 2013, 17:53
    Le Street-art s’invite à Azemmour


    17 au 19 mai - Festival Remp'Arts à Azemmour Remp_a10
    Article paru dans le quotidien "le Soir" du 24/04/2013

    Le festival Remp’Arts remplace le festival des Arts Plastiques d’Azemmour. Un nouveau format Street art qui promet des étincelles, du 17 au 19 mai.

    Said El khatiri de l’ONJD, Zaki Semlali président du conseil d’Zemmour et les producteurs délégués Aly Kettani et Mehdi Damir ont annoncé l’évènement à la Sqala.

    Le festival Remp’Arts se veut une manifestation tout en vitalité, scandant l’art urbain dans une ville encore novice dans ce genre de discipline, Azemmour. Fruit de l’implication d’Aly Kettani, propriétaire de la galerie Yakin&Boaz et Mehdi Damir en tant que producteurs délégués, Remp’Arts se veut aujourd’hui un effort conjoint entre la ville d’Azemmour, la province d’El Jadida et l’association ONJD. Experts en la matière, les deux figures de la scène artistique casablancaise ont réuni des artistes locaux et des graffeurs à renommée mondiale, brassant les formes de l’art urbain pour créer un espace d’expression stimulant. « Le défi était de créer une fusion entre l’histoire d’Azemmour et une démarche urbaine moderne», a précisé Aly Kettani lors de la conférence de presse donnée à la Sqala mardi matin. La ville d’Azemmour se transformera, le temps de trois jours, en arène de pochoirs et de fresques murales. qui parleront de la ville, de ses couleurs, de son histoire et reflèteront surtout son engagement envers l’art. Les œuvres se déclineront à la sauce marocaine et s’inspireront de l’univers de la figure légendaire Estevanico, esclave devenu explorateur et natif d’Azemmour, premier africain à fouler le sol de l’Amérique continentale.

    Remp’Arts cible les jeunes


    A côté des fresques murales, l’événement sera ponctué de « Halqa » ou cercles d’animations, de spectacles de rue, de duels de hip-hop, de performances de skate-boarders, et de prouesses en technologie digitale, sans oublier l’espace culinaire et les brocanteurs qui s’inviteront à la fiesta. Une ambiance de kermesse pour un événement qui cible principalement les jeunes, et les sensibilise à un art urbain auquel ils ont rarement l’occasion de se frotter. Remp’Arts est une occasion pour se familiariser avec les tendances de la scène internationale, une démarche qui ne manquera pas de séduire les jeunes originaires d’Azemmour ou les esprits curieux qui afflueront de toutes les villes du Maroc. Il s’agit surtout de faire éclore des talents encore méconnus de la scène de l’art urbain au Maroc, et de défricher des graffeurs qui aspirent à sortir de l’ombre. « Les artistes internationaux arriveront sur place une semaine avant l’événement, et leur présence sur place sera une occasion pour les jeunes talents marocains de s’initier aux fresques murales, et d’échanger avec les artistes », a expliqué Aly Kettani. Parmi les pointures du street-art invitées, citons Bates, artiste venu de Coppenhague, combinant le style New-Yorkais à une technique européenne, Kooka de France, Mizer de Russie, Toast de Suisse et Tats Cru des Etats-Unis. L’artiste franco-marocain CEET, établi à Toulouse, ville emblématique du street-art et aujourd’hui installé à Chine, posera sa griffe sur les remparts d’Azemmour, ainsi que le graffeur Franco-Marocain Neok. Quant au cru local, il sera représenté par l’artiste Morran du Maroc, graffeur de talent qui a laissé ses empreintes aux Abattoirs et à l’usine Madofer de Casablanca.
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