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Résider au Maroc : les démarches
alain- Messages : 11375
Date d'inscription : 11/04/2011
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Localisation : EL JADIDA (Maroc)
10062023
L'actualité commentée
10 juin
Al Michâal s'insurge contre le licenciement par Al Jazeera, la chaine qatarie, du journaliste marocain Abdessamad Nasser après 26 ans de bons et loyaux services. Dans un tweet, le journaliste aurait défendu la dignité de la femme marocaine pour répondre à des propos insultant de la part de la chaine officielle algérienne. L'intervention du lobby des journalistes algériens auprès d'Al Jazeera aurait donc eu la tête du confrère marocain. La diplomatie algérienne de l'ombre... Al Mountakhab est la tête dans les étoiles : et si le Wydad de Casablanca faisait se répéter l'histoire à domicile... On parle naturellement de la finale retour de la Coupe d'Afrique des clubs. Divers scénarii sont examinés à la loupe, mais dans ces calculs d'apothicaire, il convient de prendre en compte le fait que les Egyptiens de Al Ahly ont l'avantage de 2 buts à 1 obtenue au match aller, mais que le Wydad à deux facteurs favorables : le public qui va le soutenir et le fait d'avoir marqué un but au match aller. Comme on dit chez nous, "si ma tante en avait..." ou, plus prosaïque, "avec des si, on referait Paris en bouteille". Al Ousboue voit le Maroc, au travers des derniers péripéties de la "guerre diplomatique" qui s'intensifie entre "les frères ennemis", au fond de "la vallée des loups". Si le Royaume marque des points quant aux divers ralliements à sa cause obtenus en montrant parfois quelques insistances, l'Algérie sort ses poings et sa force de frappe, c'est, n'en doutons pas, son gaz. Ainsi, la semaine passée, l'Algérie est entrée pour un mandat de deux ans au Conseil de sécurité de l'ONU, l'Italie a ouvert un consulat à Tindouf et le Parlement européen a adopté une résolution accusant le Maroc d'ingérence dans les affaires des pays de l'UE. Les "caporaux algériens" ont encore quelques ressources à faire valoir... Al Ayam fait un tour sûrement pas très reluisant, dans la plus grande prison du Maroc, la sinistre Oukacha de Casablanca, et décrit la sécurité, six années après l'interdiction du panier repas apporté par les familles aux détenus. Double contrôle d’identité, vérification de l’heure du rendez-vous, fouille à trois reprises, une longue attente pour l’achat du bon qui permettra au détenu de s’approvisionner à l’économat de la prison… C’est un parcours du combattant que traversent les visiteurs avant de rencontrer le détenu dans des chambres hautement sécurisée, un parcours emprunté par 986.000 visiteurs en 2022. Al Alam Al Ousboui parle de l'épineux dossier de la liberté de la presse au Maroc. Divers intervenants (journalistes, syndicalistes et professeurs) s'intéressent à la situation des journalistes professionnels, la nécessité de qualifier le secteur médiatique et de combler les lacunes dans les lois qui l’encadrent, la déontologie, les exigences de la pratique démocratique, etc... Ont-ils seulement parlé de la liberté économique des journaux et de leurs accaparements par les puissances d'argent dont l'objectif est avant tout idéologique afin de créer la "pensée unique", facteur de domination des peuples ? Al Watan Al Ane est plus terre à terre : comment va-t-on "bouffer" lors de l'Aït ? L'hebdomadaire s'inquiète lui aussi, du prix du mouton -mais est-ce la seule préoccupation actuelle des Marocains ?- constatant que les petits moutons seront vendus entre 2500 et 3000 dirhams et s'interroge : le gouvernement autorisera-t-il "cette aberration" ? S'il n'y avait que le prix du mouton qui s'envole...
Le coin des marcheurs
21/06 - Fête de la musique
10 juin
Colombie - Un dénouement heureux... - Commençons notre revue de l'actualité par une note d'espoir : depuis 40 jours, ils étaient recherchés dans la jungle inhospitalière colombienne après la découverte de l'avion qui s'était écrasé et les corps des adultes décédés. Des preuves montraient aux secouristes que les enfants (13, 9, 4 et 1 ans) avaient survécus et que la fratrie qui fait partie d'une communauté indienne habituée à la jungle, était capable de survivre dans ce milieu hostile. Les recherches ont finalement abouti Une note heureuse dans ce monde de brute...
Etats-Unis - Les ennuis de Donald - L'ex-président est visé par pas moins de 37 charges pour avoir conservé des secrets nucléaires. Les perquisitions qui ont eu lieu dans ses propriétés ont révélé qu'il conservait des documents -notamment dans une salle de bain !- ayant trait à la capacité de défense et d'armement des USA et de pays étrangers, aux programmes nucléaires des Etats-Unis, à ses potentielles vulnérabilités et celles de ses alliés et aux possibles ripostes en cas d'attaque. D'autre part, une conversation téléphonique compromettante enregistrée, démontrerait que Trump n'a pas déclassifié u'il était président, ces documents lorsqu'il était président, et qu'en conséquence ce sont des documents "secret défense". Enfin, pour résumer, Donald est dans une sacré emme..e !
Les "archives" de Trump !
Maroc - Revue de la presse hebdomadaire arabophone
Et oui : un nouveau week-end démarre et c'est le tour à une revue des hebdomadaires de langue arabe...
Al Michâal s'insurge contre le licenciement par Al Jazeera, la chaine qatarie, du journaliste marocain Abdessamad Nasser après 26 ans de bons et loyaux services. Dans un tweet, le journaliste aurait défendu la dignité de la femme marocaine pour répondre à des propos insultant de la part de la chaine officielle algérienne. L'intervention du lobby des journalistes algériens auprès d'Al Jazeera aurait donc eu la tête du confrère marocain. La diplomatie algérienne de l'ombre... Al Mountakhab est la tête dans les étoiles : et si le Wydad de Casablanca faisait se répéter l'histoire à domicile... On parle naturellement de la finale retour de la Coupe d'Afrique des clubs. Divers scénarii sont examinés à la loupe, mais dans ces calculs d'apothicaire, il convient de prendre en compte le fait que les Egyptiens de Al Ahly ont l'avantage de 2 buts à 1 obtenue au match aller, mais que le Wydad à deux facteurs favorables : le public qui va le soutenir et le fait d'avoir marqué un but au match aller. Comme on dit chez nous, "si ma tante en avait..." ou, plus prosaïque, "avec des si, on referait Paris en bouteille". Al Ousboue voit le Maroc, au travers des derniers péripéties de la "guerre diplomatique" qui s'intensifie entre "les frères ennemis", au fond de "la vallée des loups". Si le Royaume marque des points quant aux divers ralliements à sa cause obtenus en montrant parfois quelques insistances, l'Algérie sort ses poings et sa force de frappe, c'est, n'en doutons pas, son gaz. Ainsi, la semaine passée, l'Algérie est entrée pour un mandat de deux ans au Conseil de sécurité de l'ONU, l'Italie a ouvert un consulat à Tindouf et le Parlement européen a adopté une résolution accusant le Maroc d'ingérence dans les affaires des pays de l'UE. Les "caporaux algériens" ont encore quelques ressources à faire valoir... Al Ayam fait un tour sûrement pas très reluisant, dans la plus grande prison du Maroc, la sinistre Oukacha de Casablanca, et décrit la sécurité, six années après l'interdiction du panier repas apporté par les familles aux détenus. Double contrôle d’identité, vérification de l’heure du rendez-vous, fouille à trois reprises, une longue attente pour l’achat du bon qui permettra au détenu de s’approvisionner à l’économat de la prison… C’est un parcours du combattant que traversent les visiteurs avant de rencontrer le détenu dans des chambres hautement sécurisée, un parcours emprunté par 986.000 visiteurs en 2022. Al Alam Al Ousboui parle de l'épineux dossier de la liberté de la presse au Maroc. Divers intervenants (journalistes, syndicalistes et professeurs) s'intéressent à la situation des journalistes professionnels, la nécessité de qualifier le secteur médiatique et de combler les lacunes dans les lois qui l’encadrent, la déontologie, les exigences de la pratique démocratique, etc... Ont-ils seulement parlé de la liberté économique des journaux et de leurs accaparements par les puissances d'argent dont l'objectif est avant tout idéologique afin de créer la "pensée unique", facteur de domination des peuples ? Al Watan Al Ane est plus terre à terre : comment va-t-on "bouffer" lors de l'Aït ? L'hebdomadaire s'inquiète lui aussi, du prix du mouton -mais est-ce la seule préoccupation actuelle des Marocains ?- constatant que les petits moutons seront vendus entre 2500 et 3000 dirhams et s'interroge : le gouvernement autorisera-t-il "cette aberration" ? S'il n'y avait que le prix du mouton qui s'envole...Informations particulières
(accéder aux informations en cliquant sur les liens bleus) Le coin des marcheurs- 06/06 - marche sportive :
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