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Résider au Maroc : les démarches
alain- Messages : 11398
Date d'inscription : 11/04/2011
Age : 76
Localisation : EL JADIDA (Maroc)
02022022
02 février
Maroc – les nouvelles conditions d'entrée sur le territoire du Royaume
Le gouvernement a communiqué les nouvelles conditions d'entrée à compter du 07 février :
Sont Obligatoires :
– pass vaccinal obligatoire ;
– ET PCR négatif réalisé moins de 48 heures avant l’embarquement ;
– des tests rapides seront réalisés pour les passagers dès leur arrivée aux aéroports ;
– des tests PCR aléatoires seront effectués pour des groupes de voyageurs de manière aléatoire dès leur arrivée, et leur résultat communiqué ultérieurement.
Tous les équipements et moyens humains, sanitaires, sécuritaires et administratifs seront mobilisés pour la réussite de ces opérations.
Possible:
– possibilité de réaliser des tests supplémentaires dans un délai de 48 heures suivant l’arrivée, pour les touristes, dans leurs résidences et hôtels.
Mesures spéciales pour les cas positifs :
– des dispositions spéciales seront instaurées pour les cas testés positifs :
* les cas normaux : obligation d’un confinement sanitaire dans leur lieu de résidence, tout en les soumettant à un suivi minutieux.
- * les cas graves : transfert aux hôpitaux pour recevoir les soins nécessaires.
Maroc – commerce extérieur : importations et exportations croissent dans la même proportion
Avec une augmentation de 24,5 % pour les importations et 24,3 % pour les exportations, le taux de couvertures des importations par les exportations se stabilise à 62,1 %. Phosphates et transferts des MRE tirent vers le haut les recettes alors que le tourisme s'effondre. La facture énergétique a été alourdi en 2021.
Maroc – le « relamping « , une source d'économie de un milliard de dirhams
La Maroc possède environ 1,6 million de points lumineux public, cherche l'économie énergétique et pense le trouver dans le « relamping » défini comme « l'opération qui consiste à remplacer le parc d'éclairage par des technologies comme le LED, permettant de réduire la facture énergétique ». Les techniques les plus récentes devraient permettra d'économiser jusqu'à 80 %. De plus, le « relamping » ouvre de nouveaux marchés pour les fournisseurs et les installateurs
Guinée-Bissau – sûrement un coup d'Etat
Il semble bien que l'Afrique soit en proie aux coups d'Etat militaires : à Bissau, des militaires ont pris position autour du palais présidentiel où se tenait une réunion extraordinaire du Conseil des ministres autour du président et du premier ministre.
Maroc - à vouloir donner des leçons, on se brûle parfois les ailes
Mohamed Ouzzine (MP) use depuis quelques temps d’une agressivité verbale qui frôle les limites du "correct" envers ses collègues parlementaires. Lundi, il a cru bon de dépeindre le gouvernement en tant qu’entité «sans culture politique», et ce en présence du chef de l’exécutif. Akhannouch a pris son temps pour rappeler à Ouzzine ses débuts dans son propre cabinet ministériel ! «Je comptais aller loin dans ma réponse, mais je respecte votre parti», a-t-il calmement lancé au député MP, en le conviant à «éviter de perdre du temps dans les surenchères futiles» et à s’écarter du populisme car «tout le monde est grand pour ce genre de choses»…
Maroc - les morts se mêlent des affaires des vivants
Assabah nous raconte l'histoire : Un bien foncier de deux hectares à Settat est au cœur d’une affaire rocambolesque. En 2018, une personne s’est présentée comme héritier de ce bien et a saisi le tribunal de première instance de la ville pour obtenir sa part de l’héritage. Alors que la justice se penchait sur l’affaire, il a introduit d’autres noms dans le dossier comme héritiers. Le problème est que ces personnes, au nombre de 7, sont toutes mortes (et il voulait profiter de leurs part). Averti par la Cour, il a supprimé ces noms et les a remplacé par d’autres, de personnes décédées aussi !
Maroc - croisade d'Akhannouch pour la troisième dose
Il était venu auprès de la CGEM pour parler "relance" mais son discours a été tout autre de ce qui avait été prévu. L'air et le ton graves, le chef de gouvernement a parlé de vaccination et de situation sanitaire et indiqué que sans la troisième dose il n'y aura pas de "cash flow". "Lorsqu'on atteindra 23 ou 24 millions de troisième dose, on pourra parler tranquillement sur l'économie".
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