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Résider au Maroc : les démarches
alain- Messages : 11398
Date d'inscription : 11/04/2011
Age : 76
Localisation : EL JADIDA (Maroc)
12022022
12 février
Maroc - des pratiques misogynes, sans doute...
Al Ayam rapporte les confidences de Charafat Afilal, ministre PPS qui a brillé dans le ciel de la politique marocaine à l’époque du gouvernement Benkirane. Très dynamique, elle a pourtant fait les frais de quelques bavures verbales lors de son 2e mandat en tant que ministre déléguée chargée de l’eau. Elle se confie à l’hebdomadaire autour de son "remerciement", qu’elle a appris «à travers la presse et le communiqué du Conseil ministériel». D’ailleurs, sa nomination lui a été apprise la veille même de la cérémonie d’investiture en octobre 2013. Des révélations qui en disent long sur les rouages des nominations à de hautes fonctions et des conditions de travail des ministres. N'est-ce pas plutôt une pratique misogyne consistant à considérer les femmes comme étant de "seconde zone" ou comme des "potiches", des "faire-valoir" ?
Etats-Unis - Biden s'en va t'en guerre
La dramatisation de la crise ukrainienne par le président américain continue de plus belle. On a connu dans un passé relativement récent de telles attitudes d'autres présidents dont certaines ont abouti à des guerres provoquées sans que cela n'ait été justifié sinon par le désir des pouvoirs US à dominer le monde et faire du business en déstabilisant des pays et y créant le chaos. L'Irak ou l'Afghanistan sont là pour rappeler que les Etats-Unis y ont sciemment exporté leurs difficultés internes.
Maroc - l'export de l'artisanat repart à la hausse
« Après une année 2020 marquée par une inflexion (-25%) et un coup d’arrêt lié à la crise sanitaire et économique du Covid-19, le chiffre d’affaires à l’export des produits d’artisanat est reparti à la hausse en 2021, enregistrant une valeur dépassant les 893 MDH, soit un taux d’accroissement de 50% par rapport à l’année précédente », indique le ministère du tourisme, de l’artisanat et de l’économie sociale et solidaire, dans un communiqué.
France - qu'est-ce qui fait donc courir Peugeot ?
Allez donc : Stellantis (Peugeot-Citroën-Fiat) n'est sûrement pas désintéressé lorsque le groupe annonce la métamorphose de son usine de Trémery (Moselle), "le temple du moteur diesel", en fabrique de moteurs électriques. On est dans l'air du temps : le tout électrique s'impose "pour le bien de la planète", dit-on. "On y va et on ne va plus s'arrêter", déclare-t-on à la direction de l'entreprise. On se frotte d'ailleurs doublement les mains : c'est bon pour le président préféré de la finance qui va pouvoir enfin engranger dans sa musette électorale un thème qui lui est cher, la relocalisation industrielle, et qui compensera quelque peu le vide sidéral de l'inventaire de ses réalisations en la matière durant son quinquennat. Mais pour le groupe automobile, ce sont les économies de main d'oeuvre que l'on lorgne : selon une projection à 2030 d'une étude de Alix Partner, l'électrique devrait aboutir à la suppression de 52 000 postes en France pendant qu'elle ne créerait que 20 000 nouveaux emplois. Mais, chut, ça on ne dit pas !
OMS - pour l'organisation onusienne, la phase aiguë de la pandémie devrait prendre fin avec 70 % de vaccinés
La "phase aiguë" de la pandémie de Covid-19 prendra fin cette année si l'objectif de 70% de la population mondiale vaccinée est atteint, a déclaré vendredi le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). « Nous tablons sur une fin de la phase aiguë de la pandémie cette année, à la condition bien sûr que 70% de la population mondiale soit vaccinée d’ici le milieu de l’année, vers juin ou juillet », a déclaré à la presse Tedros Adhanom Ghebreyesus, en visite en Afrique du Sud. Seulement, il reste un effort important à faire : multiplier par 6 la vaccination de l'Afrique (11 %).
Maroc - recyclage militant
L’actuel secrétaire général du Front des Forces Démocratiques (FFD), Mustapha Benali, confirme que la nouvelle star de son parti, Hamid Chabat, ne lui succédera pas lors du prochain Congrès national prévu en mars. S’il ne tarit pas d’éloges sur Chabat, «valeur ajoutée pour le parti et une précieuse compétence politique et syndicale», Benali rappelle pourtant que l’ex-mastodonte du PI n’a rejoint le FFD que récemment, et que le parti compte beaucoup de militants aguerris, dont certains sont actifs depuis la création de la formation politique, il y a 25 ans.
Algérie/Maroc - Biden pourrait s'en mêler
La crise ukrainienne a des répercutions sur la crise entre les deux pays voisins, le Maroc et l'Algérie. Al Ousboue Assahfi analyse ce qu'il perçoit comme une préoccupation américaine : ces derniers jours ont connu des escarmouches entre le Maroc et l’Algérie en marge du 35e sommet de l’Union Africaine, et les déclarations des ministres des affaires étrangères des deux pays augurent «un duel diplomatique» au sein de la Ligue des États-Arabes. Selon l’hebdomadaire, cette tension ne saurait durer longtemps, les États-Unis s’intéressant désormais au rapprochement des points de vue entre voisins. Le pays de l’oncle Sam, occupé par le sort de l’Ukraine, craint que la Russie, qui cherche à renforcer son poids en Afrique, ne s’impose en tant qu’acteur influent dans la crise maroco-algérienne.Maroc - des pratiques misogynes, sans doute...
Al Ayam rapporte les confidences de Charafat Afilal, ministre PPS qui a brillé dans le ciel de la politique marocaine à l’époque du gouvernement Benkirane. Très dynamique, elle a pourtant fait les frais de quelques bavures verbales lors de son 2e mandat en tant que ministre déléguée chargée de l’eau. Elle se confie à l’hebdomadaire autour de son "remerciement", qu’elle a appris «à travers la presse et le communiqué du Conseil ministériel». D’ailleurs, sa nomination lui a été apprise la veille même de la cérémonie d’investiture en octobre 2013. Des révélations qui en disent long sur les rouages des nominations à de hautes fonctions et des conditions de travail des ministres. N'est-ce pas plutôt une pratique misogyne consistant à considérer les femmes comme étant de "seconde zone" ou comme des "potiches", des "faire-valoir" ?
France - salaires : les dessous cachés de la campagne électorale
C'est maintenant une évidence : l'inflation a grignoté le pouvoir d'achat des Français et la préoccupation première de ceux-ci, ce n'est pas les migrants qui viendraient "manger le pain des Français" mais l'augmentation des salaires. Si tous les candidats veulent désormais satisfaire cette revendication, il faut voir de quelle manière ils vont s'y prendre. En quelque sorte : "dis-moi comment tu procèdes et je te dirais qui tu es !" Il y a, tout d'abord, ceux qui veulent simplement décréter une augmentation générale, ce qui, non seulement redonnerait du pouvoir d'achat aux Français, mais renflouerait la sécurité sociale et autres caisses de retraite, boosterait la demande intérieure. Il faut chercher ces propositions dans les programmes des candidats de gauche. Puis il y a ces autres candidats à l'image Valérie Pécresse ou de Macron, de Zemmour ou de Le Pen qui, en s’attaquant aux cotisations et en payant pour les entreprises, déclarent en réalité la guerre à notre système de protection et menacent les services publics. Une escroquerie en bonne et due forme. Car en réalité, les cotisations sociales que ces candidats appellent "charges sociales" sont un salaire différé servant à payer les aléas de la vie et la vieillesse du salarié. En rognant sur ces "charges", c'est un vol que l'on opère sur le revenu du travail.
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