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alain- Messages : 11381
Date d'inscription : 11/04/2011
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Localisation : EL JADIDA (Maroc)
01022024
Au fil de l'actualité
02 févier
Union Européenne - Les 27 unis... C'est une bonne nouvelle annoncée par Charles Michel, le président du Conseil européen : le hongrois Orban n'a pas mis son véto à l'aide de 50 milliards que l'UE va octroyer à l'Ukraine, alors même que jusqu'à ce jour, il jouait à faire chanter ses collègue. Aurait-on finalement échangé les 50 milliards promis à l'Ukraine contre les 20 milliards dus à la Hongrie et que la Commission européenne bloquait du fait de la persécution d'Orban à l'encontre de la communauté LBGT+ hongroise ? On voudrait bien savoir... France - Agriculture : une sortie de crise sur le dos de l'environnement... C'était une valse à trois temps. Tout a fonctionné comme sur des roulettes : des heures de négociations en tête à tête entre FNSEA/Jeunes Agriculteurs et le premier ministre, des annonces à minimum soutenues à mi-voix par les deux syndicats majoritaires et l'appel à lever les blocages... Moins de contraintes, ce qui signifie principalement l'abandon des mesures de restriction sur l'emploi de pesticides, un petit saupoudrage de quelques millions d'euros, une vague promesse de se montrer vigilants sur les négociations des tarifs agricoles, mais rien quant à la juste rémunération des agriculteurs. Tout ça a conduit Pierre Thomas, le président du MODEF (mouvement de défenses des exploitations familiales), un syndicat minoritaire, à déclarer : « Ces annonces me mettent en colère. On nous dit : « On vous donne quatre sous, on ne vous embête pas trop sur les normes environnementales et on assure se battre au niveau européen contre les accords de libre-échange », ce que l’on réclame depuis des années. Mais il n’y a rien sur les revenus. N’aurions-nous qu’un problème de paperasse ? »
Lu dans la presse quotidienne marocaine arabophone
La pastèque et le melon sont mis à l'index... Ces plantes hydrovores sont limitées dans leurs surfaces de culture et les contrôles se durcissent. Ainsi, Al Massae nous conte l'exemple d'un agriculteur qui s'est vu détruire par les autorités ses plantations dans la province de Chichaoua. Il avait reçu une autorisation pour 1 hectare et demi et avait ensemencé 12 hectares. L'été va être difficile : nous n'aurons plus de pastèques et melons pour nous rafraîchir !... Assahraa Al Magrhibia se penche sur la journée mondiale de sensibilisation contre le cancer du col de l'utérus qui sera célébrée le 4 février. Le journal rappelle que six femmes en sont atteintes quotidiennement et que trois en décède chaque jour. Les acteurs associatifs marocains concernés ont réitéré leur appel au ministère de la Santé pour accorder plus d'attention à la lutte contre cette maladie qui touche plus de 3.900 Marocaines et à la sensibilisation massive pour la prévenir et l'éradiquer. C'est toujours la même chanson : il suffit d'être "une personne influente" pour obtenir quelques privilèges. En l'occurrence, nous dit Al Ahdath Al Maghribia, des centaines d'habitants de cinq douars dans la commune de Tazourt (province de Larache) ont été appris que la titrisation des terres sur lesquels ils sont établis l'a été au profit de ladite personne influente pour une assiette foncière d'environ 1.189 hectares, comportant 422 maisons et une panoplie d'infrastructures, dont le Mausolée de Moulay Abdessalam Ben Mchich. Des plaintes ont été adressées dans ce sens au chef du gouvernement, au ministre de la Justice et au directeur régional de la conservation foncière. La spoliation foncière : un mal marocain... Un autre mal marocain : un détournement de fonds au Conseil préfectoral de Rabat où sont impliqués six fonctionnaires de la société de développement local Rabat Animation et Développement. Selon Al Akhbar, ladite société constituée en 2016, était au bord de la faillite. Les concernés sont suspectés d'avoir pris part à des opérations de manipulation des loyers des infrastructures sportives et de divertissement (terrains de proximité, grande piscine de Rabat, etc.).
A propos de la contre-performance des Lions de l'Atlas, Bayane Al Yaoum semble avoir un commentaire plus mesuré que certains de ses confrères et tourne la page vers l'avenir de l'équipe nationale. Dans son éditorial, le journal estime que la sortie prématurée des Lions de l’Atlas de la Coupe d’Afrique des Nations est difficile à digérer, surtout qu’ils étaient l’un des favoris de l’édition en cours en Côte d’Ivoire, «mais au final, c'est ça aussi le football, et l’élimination n’est pas la fin du monde». Des erreurs ont été commises et des remarques se posent sur le plan de jeu, l’approche et les choix tactiques du sélectionneur national, certes. Il faut cependant garder les pieds sur terre et tirer les bonnes conclusions pour se préparer efficacement à la prochaine CAN que le Maroc abritera en 2025. Le football n'est finalement qu'un jeu où la part de chance joue également son rôle...
On a suivi -de loin, tout de même !- la mésaventure qui est arrivée à la chanteuse Doumia Batma, sa condamnation à un an de prison ferme pour une histoire de chantage sexuel et la confirmation de sa peine. Assabah nous apprend qu'elle a passé sa première nuit à la prison de Loudaya à Marrakech après son arrestation mercredi à Casablanca.
02 févier
Union Européenne - Les 27 unis... C'est une bonne nouvelle annoncée par Charles Michel, le président du Conseil européen : le hongrois Orban n'a pas mis son véto à l'aide de 50 milliards que l'UE va octroyer à l'Ukraine, alors même que jusqu'à ce jour, il jouait à faire chanter ses collègue. Aurait-on finalement échangé les 50 milliards promis à l'Ukraine contre les 20 milliards dus à la Hongrie et que la Commission européenne bloquait du fait de la persécution d'Orban à l'encontre de la communauté LBGT+ hongroise ? On voudrait bien savoir... France - Agriculture : une sortie de crise sur le dos de l'environnement... C'était une valse à trois temps. Tout a fonctionné comme sur des roulettes : des heures de négociations en tête à tête entre FNSEA/Jeunes Agriculteurs et le premier ministre, des annonces à minimum soutenues à mi-voix par les deux syndicats majoritaires et l'appel à lever les blocages... Moins de contraintes, ce qui signifie principalement l'abandon des mesures de restriction sur l'emploi de pesticides, un petit saupoudrage de quelques millions d'euros, une vague promesse de se montrer vigilants sur les négociations des tarifs agricoles, mais rien quant à la juste rémunération des agriculteurs. Tout ça a conduit Pierre Thomas, le président du MODEF (mouvement de défenses des exploitations familiales), un syndicat minoritaire, à déclarer : « Ces annonces me mettent en colère. On nous dit : « On vous donne quatre sous, on ne vous embête pas trop sur les normes environnementales et on assure se battre au niveau européen contre les accords de libre-échange », ce que l’on réclame depuis des années. Mais il n’y a rien sur les revenus. N’aurions-nous qu’un problème de paperasse ? » Lu dans la presse quotidienne marocaine arabophone La pastèque et le melon sont mis à l'index... Ces plantes hydrovores sont limitées dans leurs surfaces de culture et les contrôles se durcissent. Ainsi, Al Massae nous conte l'exemple d'un agriculteur qui s'est vu détruire par les autorités ses plantations dans la province de Chichaoua. Il avait reçu une autorisation pour 1 hectare et demi et avait ensemencé 12 hectares. L'été va être difficile : nous n'aurons plus de pastèques et melons pour nous rafraîchir !... Assahraa Al Magrhibia se penche sur la journée mondiale de sensibilisation contre le cancer du col de l'utérus qui sera célébrée le 4 février. Le journal rappelle que six femmes en sont atteintes quotidiennement et que trois en décède chaque jour. Les acteurs associatifs marocains concernés ont réitéré leur appel au ministère de la Santé pour accorder plus d'attention à la lutte contre cette maladie qui touche plus de 3.900 Marocaines et à la sensibilisation massive pour la prévenir et l'éradiquer. C'est toujours la même chanson : il suffit d'être "une personne influente" pour obtenir quelques privilèges. En l'occurrence, nous dit Al Ahdath Al Maghribia, des centaines d'habitants de cinq douars dans la commune de Tazourt (province de Larache) ont été appris que la titrisation des terres sur lesquels ils sont établis l'a été au profit de ladite personne influente pour une assiette foncière d'environ 1.189 hectares, comportant 422 maisons et une panoplie d'infrastructures, dont le Mausolée de Moulay Abdessalam Ben Mchich. Des plaintes ont été adressées dans ce sens au chef du gouvernement, au ministre de la Justice et au directeur régional de la conservation foncière. La spoliation foncière : un mal marocain... Un autre mal marocain : un détournement de fonds au Conseil préfectoral de Rabat où sont impliqués six fonctionnaires de la société de développement local Rabat Animation et Développement. Selon Al Akhbar, ladite société constituée en 2016, était au bord de la faillite. Les concernés sont suspectés d'avoir pris part à des opérations de manipulation des loyers des infrastructures sportives et de divertissement (terrains de proximité, grande piscine de Rabat, etc.). A propos de la contre-performance des Lions de l'Atlas, Bayane Al Yaoum semble avoir un commentaire plus mesuré que certains de ses confrères et tourne la page vers l'avenir de l'équipe nationale. Dans son éditorial, le journal estime que la sortie prématurée des Lions de l’Atlas de la Coupe d’Afrique des Nations est difficile à digérer, surtout qu’ils étaient l’un des favoris de l’édition en cours en Côte d’Ivoire, «mais au final, c'est ça aussi le football, et l’élimination n’est pas la fin du monde». Des erreurs ont été commises et des remarques se posent sur le plan de jeu, l’approche et les choix tactiques du sélectionneur national, certes. Il faut cependant garder les pieds sur terre et tirer les bonnes conclusions pour se préparer efficacement à la prochaine CAN que le Maroc abritera en 2025. Le football n'est finalement qu'un jeu où la part de chance joue également son rôle... On a suivi -de loin, tout de même !- la mésaventure qui est arrivée à la chanteuse Doumia Batma, sa condamnation à un an de prison ferme pour une histoire de chantage sexuel et la confirmation de sa peine. Assabah nous apprend qu'elle a passé sa première nuit à la prison de Loudaya à Marrakech après son arrestation mercredi à Casablanca.Partager cet article sur :
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