06 juin 2014 - marche sportive Golf Pullman-Mazagan et retour

Ce fut un rythme d'enfer... à faire pâlir notre ami José ! Nous avions décidé d'un départ fulgurant à laisser sur place la dernière née des Ferrari... et, en effet, je constatai dans une demie surprise qu'après une demie heure de marche, le chrono affichait 6,6 km/heure. Encouragés par cet "exploit", nos marcheurs accélérèrent le pas, laissant sur place Pascale, Ilona accompagnées de Karel. Nous étions devenus fous mais il n'y avait pas une minute à perdre, le chemin était encore long et le couscous ne saurait attendre les retardataires... Du bois, nous débouchâmes sur le domaine privé du complexe de Mazagan. Visiblement certains d'entre nous étaient à la limite de l'implosion... Gisèle, rouge comme une tomate, Behija qui ne cessait d'imprimer à sa démarche des pas de fondeur (le semi-marathon, ce n'est pas aujourd'hui, Bahija, mais dimanche !)... et Bruno, le fidèle cerbère de Denise, profitait de son absence pour "s'éclater". Toutefois, sa vivacité impressionnante avait quelque chose de surnaturel... la dope ! Oui, tout au long du parcours, notre ancien préparateur en pharmacie n'eut de cesse que d'ingurgiter des pruneaux ! Quelques vitamines qui le rendaient "surmultiplié" ! Quant à Joris, le plus intègre, il n'avait pas besoin de surnaturel pour avancer... Il est vrai que l'âge faisait la différence...

En fin de parcours, les 7 "léopards" doublèrent leurs coreligionnaires qui comprennent la marche comme un plaisir de la langue... Nous étions 16 au départ, nous fûmes 16 à l'arrivée ! Et puisque certains attendent le verdict chiffré, sachez, braves gens, que nous avions couvert les 10 km 800 en 1 h 48... Pour ceux qui savent compter : 6 km/heure... Un bon couscous et une bonne sieste et nous serons prêts à recommencer ! Plus sérieusement, Joris et Alain prévoient une sortie d'une journée à la rentrée sur une distance plus significative : 30 km.

J'avais oublié le 06 juin... un anniversaire pourtant sur tous les écrans de télé... Notre fidèle collaborateur s'est sûrement offusqué de cet oubli et nous prie d'insérer :