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Résider au Maroc : les démarches
02/02 - Marche sportive au Golf
2 participants
Marie Francoise- Messages : 1929
Date d'inscription : 11/04/2011
02/02 - Marche sportive au Golf
Mar 02 Fév 2021, 12:39
Les photos sont ici
alain- Messages : 11390
Date d'inscription : 11/04/2011
Age : 76
Localisation : EL JADIDA (Maroc)
Re: 02/02 - Marche sportive au Golf
Mar 02 Fév 2021, 14:54
J'avoue que je ne m'y fais pas encore : passant devant le château d'eau pour me rendre devant la clinique des Palmiers, lieu de notre rassemblement d'avant "match", j'ai toujours l'impression que la silhouette de l'ami Bruno va m'apparaître sur le trottoir guettant l'arrivée de la Logan. Mais pas de Bruno à l'horizon... Il faut bien s'y faire, lui qui a réintégré la terre de France !
Ce n'est pas encore la pleine activité : il faut bien reconnaître que les marcheurs ne se bousculent pas au portillon. Si Zéroual et Jean-Pierre avaient annoncé qu'ils ne concouraient pas ce mardi, nous n'espérions que trois participants alors que nous étions quatre au départ, un élément féminin venant se rappeler à notre bon souvenir en la personne de... de... l'épouse de Mohamed dont -et elle voudra bien m'en excuser- j'ai quelque mal à me souvenir de son prénom. Point de Mohamed à l'appel : il faut croire qu'il n'est pas de la trempe volontaire de son épouse et que l'exercice pédestre n'est pas ce qu'il préfère.
Nous voilà donc sur un départ "chapeau de roue" de nos deux "régionaux de l'étape", Driss et Bachir qui ont quelques souvenirs à se conter, l'un et l'autre ayant fait les cent coups dans leur bonne vieille cité de Mazagan.
Quant à nous deux, les deux petits derniers à l'arrière, si nous ne mettons pas nos pas dans ceux de l'avant, notre rythme n'est pas ridicule et le chrono affiche un 5 km/heure tout de même. Driss et Bachir, que nous voyons en point de mire, ont sûrement voulu nous "faire cracher les tripes" et ont pris le parcours le plus long à travers la forêt. Nous croisons quelques magnifiques chevaux, toujours aussi bien entretenus dans une région et une ville, la capitale du cheval, où l'ami de l'homme est considéré. La forêt réserve des surprises et quelques arbres barrent le chemin nous obligeant à des détours ou des acrobaties afin de continuer notre chemin.
Enfin, nous arrivons après deux heures de marche, à la voiture. Driss et Bachir nous attendent depuis 17 minutes, précise Driss à l'attention du chef, histoire de lui faire remarquer que, théoriquement, le chef doit être à l'avant de ses troupes !
Ce n'est pas encore la pleine activité : il faut bien reconnaître que les marcheurs ne se bousculent pas au portillon. Si Zéroual et Jean-Pierre avaient annoncé qu'ils ne concouraient pas ce mardi, nous n'espérions que trois participants alors que nous étions quatre au départ, un élément féminin venant se rappeler à notre bon souvenir en la personne de... de... l'épouse de Mohamed dont -et elle voudra bien m'en excuser- j'ai quelque mal à me souvenir de son prénom. Point de Mohamed à l'appel : il faut croire qu'il n'est pas de la trempe volontaire de son épouse et que l'exercice pédestre n'est pas ce qu'il préfère.
Nous voilà donc sur un départ "chapeau de roue" de nos deux "régionaux de l'étape", Driss et Bachir qui ont quelques souvenirs à se conter, l'un et l'autre ayant fait les cent coups dans leur bonne vieille cité de Mazagan.
Quant à nous deux, les deux petits derniers à l'arrière, si nous ne mettons pas nos pas dans ceux de l'avant, notre rythme n'est pas ridicule et le chrono affiche un 5 km/heure tout de même. Driss et Bachir, que nous voyons en point de mire, ont sûrement voulu nous "faire cracher les tripes" et ont pris le parcours le plus long à travers la forêt. Nous croisons quelques magnifiques chevaux, toujours aussi bien entretenus dans une région et une ville, la capitale du cheval, où l'ami de l'homme est considéré. La forêt réserve des surprises et quelques arbres barrent le chemin nous obligeant à des détours ou des acrobaties afin de continuer notre chemin.
Enfin, nous arrivons après deux heures de marche, à la voiture. Driss et Bachir nous attendent depuis 17 minutes, précise Driss à l'attention du chef, histoire de lui faire remarquer que, théoriquement, le chef doit être à l'avant de ses troupes !
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