- alain
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Au fil de l'actualité
22 février
22 février
Maroc - Dans la presse quotidienne arabophone...
Les femmes du Parti de l'Istiqlal semblent vouloir un peu de gâteau... C'est ce dont est convaincu Assabah qui voit dans la mise en avant de l'Organisation de la Femme Istiqlalienne, la preuve qu'à quelques encablures du 18ème congrès, Nizar Baraka est mis sous pression afin que soit combler le déficit de femmes dans les instances dirigeantes et dans la participation au gouvernement.
Les autorisations de mariages de mineurs -8 667 en 2023- constituent selon le CESE (Conseil Economique Social et Environnemental), la preuve que le Code de la Famille dans sa version actuelle «contribue à la continuité du mariage des mineures» et «ne respecte pas l’intérêt suprême de l’enfant». Le Conseil rendait son avis sur la réforme de la Moudawana et «le mariage des mineures et son impact négatif sur leur condition socio-économique». Selon Al Ahdath Al Maghribia, son président, Ahmed Reda Chami, a appelé à soutenir les familles vulnérables comportant des filles en âge d’aller à l’école.
Al Akbar se fait l'écho de la mise en oeuvre du programme Forsa. Des dizaines de bénéficiaires du programme Forsa ont protesté mardi devant le siège du ministère du Tourisme (en charge de la mise en œuvre du programme) pour dénoncer «la tergiversation des autorités sur la question du financement". Concrètement, les fonds n'auraient pas été débloqués au profit de certains porteurs de projets, ce qui les a menés à créer une «coordination des victimes de Forsa 2022 et 2023". La Coordination appelle aussi à l'annulation des taux d'intérêt sur les prêts contractés (2% en milieu urbain et 1,75% en milieu rural).
Le verdict est tombé dans l'affaire du vol des équipements de l'hôpital provincial Ibn Baja de Taja. Selon Al Massae, la chambre des crimes financiers près la Cour d'appel de Fès a réparti 17 ans de prison ferme sur les 12 membres du réseau criminel qui a vidé l'infrastructure de son matériel médical et l'a revendu au noir à des cliniques privées. Le directeur de l'hôpital, en sa qualité de «chef du réseau criminel», a écopé de quatre ans de prison ferme à lui seul.
Bourita est satisfait : en marge du 37ème sommet de l'Union Africaine, le ministre des Affaire étrangères déclare que, depuis 2018, les sommets n'évoquent plus la question du Sahara marocain et ceci après l'adoption au sommet de Nouakchott (2018) de la résolution 693 laissant à l'ONU l'exclusivité du traitement du dossier (info : Bayane Al Yaoum).
Pedro Sanchez, en visite de travail à Rabat, a eu les honneurs d'une réception au Palais royal par le souverain. Cette visite, nous dit Assahraa Al Maghribia, fait suite à la dynamique enclenchée en avril 2022. Des dossiers d'intérêt commun ont naturellement été abordés comme le Mondial de football en 2030, le gazoduc Nigéria-Maroc ou l'initiative royale d'ouverture des ports sahariens pour les pays du Sahel enclavés.
Maroc/France - Séjourné met les bouchées doubles... Pendant que Sanchez prend une bonne longueur d'avance, la réception des trois princesses marocaines, soeurs du roi Mohamed VI, constituait bien une éclaircie dans les relations tumultueuses entre les deux pays. Aussitôt, Séjourné, le nouveau ministre français des Affaires étrangères, est annoncé à Rabat pour le 25 février. C'est que le temps presse, les affaires n'attendent pas. Sanchez damne le pion à l'ancienne puissance coloniale. Séjourné a quelques actions à se faire pardonner par le Maroc : ses positions anti-Maroc au Parlement européen ne sont pas passées inaperçues aux yeux de la diplomatie du Royaume, il faudra montrer "patte blanche" ! Notre ministre aurait pour mission de préparer le terrain à une visite de son patron, le président de la République, au Maroc. Va falloir être diplomate et, surtout, considérer le Royaume sur un même pied d'égalité...
France - L'obligation alimentaire d'un enfant envers son parent dans le besoin : l'exception d'indignité ne peut être invoquée à l'avance... Selon une réponse faite par les services juridiques de Service-Public.fr, un enfant ne peut s'exonérer à l'avance de l'obligation alimentaire en invoquant l'exception d'indignité dans les cas où le parent en question n'a pas rempli son obligation envers celui-ci dans sa minorité. Tant que l’enfant n’est pas sollicité pour venir en aide à son parent, son intérêt à agir n’est pas présent, il reste futur et éventuel. Toute demande en justice de sa part est irrecevable.
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