- alain
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D'une semaine à l'autre :
20 mai 2022
France - démarches administratives : la dématérialisation, une difficulté supplémentaire pour les usagers
Si 80 % des démarches administratives sont désormais accessibles en ligne et si 67 % des majeurs résidant en France Métropolitaine ont effectué en 2021 au moins une démarche au moyen de l'informatique (contre 33 % en 2011), beaucoup ont du mal à terminer les démarches ou y renoncent. Une étude révèle que ce sont surtout les moins de 30 ans, les seniors et les plus défavorisés qui peinent à réaliser des démarches administratives, en ligne ou non.
Si 80 % des démarches administratives sont désormais accessibles en ligne et si 67 % des majeurs résidant en France Métropolitaine ont effectué en 2021 au moins une démarche au moyen de l'informatique (contre 33 % en 2011), beaucoup ont du mal à terminer les démarches ou y renoncent. Une étude révèle que ce sont surtout les moins de 30 ans, les seniors et les plus défavorisés qui peinent à réaliser des démarches administratives, en ligne ou non.
La dématérialisation peut dissuader les plus vulnérables de mener à bien des procédures et certains laissent ainsi passer des droits. 32% des majeurs ont renoncé au moins une fois à une démarche en ligne pendant les 12 derniers mois. Parmi eux, les trois quarts l’ont effectuée autrement (par téléphone, sur place…) ; les autres (8% de la population totale) y ont renoncé définitivement.
Maroc - CMC : tout va très bien...
On apprend du Centre marocain de conjoncture que, si les prix ont augmenté sur une année de 3,2 %, l'indice de la production a progressé plus vite à 13,4 % et ce constat : l'inflation est uniquement due à deux crises majeure -Covid et guerre en Ukraine. Passez, il n'y a plus rien à voir ! Et la spéculation par exemple ?
France - la lettre de Service-public.fr : un outil de propagande électorale ?
A la lecture du dernier numéro de la lettre service-public.fr, on est stupéfié par la communication du gouvernement démissionné qui, lors du dernier Conseil des ministres, a entendu le ministre de l'Economie et des finances, énumérer les dispositions contenues dans la préparation d'une loi de finances rectificative qui serait présentée au Parlement après les élections législatives. Et de claironner, déjà, la suppression de la contribution audiovisuelle, la prolongation du bouclier sanitaire sur le prix de l'énergie jusqu'à fin 2022, la mise en place d'un chèque alimentaire pour les plus vulnérables, etc... un véritable programme à des fins électorales promis par un gouvernement "à l'agonie" puisque démissionnaire, une feuille de route pour les successeurs qui pourraient ne pas être ceux de ses amis, un mépris évident pour les électeurs à qui on veut faire croire que tout est joué et que le changement ce n'est pas pour demain... un service public devenu un organe de propagande pour le pouvoir encore en place... ça ne se passe pas en Russie mais en France !
Maroc - bisbille au PAM
Selon Assabah, un vent de fronde secoue le Parti authenticité et modernité (PAM). La contestation gagne du terrain et les mécontents veulent un congrès extrordinaire afin de viré Ouahbi du secrétariat général. Ils avancent le nom de leurs préférés : Fatima-Zarha Mansouri, ministre de l'Aménagement du territoire national ou Younes Sekkouri, ministre de l'Inclusion économique.
France - en attendant le gouvernement et, à 18 heures, la fin de l'enregistrement des candidats aux législatives
Le gouvernement va nous être livré aujourd'hui, nous promet on... et beaucoup de suppositions : les paris sont ouverts sur les départs et les arrivées. On découvre aussi, au fur et à mesure de leur publication et de leur officialisation, le nom de certains candidats aux élections législatives. Les "prises de guerre" font légion : certains candidats élus lors des législatives de 2017, sont à nouveau en lice mais sous un étiquetage différent. On connaît déjà le nom d'Aurélien Trouvé, passé du PS à LaRM, et aujourd'hui défendant son siège sous les couleurs de la NUPES... Un retournement de veste qui n'est pas isolé : le plus célèbre, le mathématicien et médaillé Fields Cédric Villani, espère conserver son siège dans la 5e circonscription de l’Essonne, cette fois sous les couleurs de la NUPES. « Le problème de Macron de façon générale, c’est que son programme n’est pas clair et ne repose que sur l’opinion du leader », estime-t-il. Dans les Alpes-de-Haute-Provence, l’ex-LaREM Delphine Bagarry, désormais candidate NUPES, reconnaît qu’il a fallu « convaincre de sa sincérité » les militants. « J’explique. Je n’ai jamais changé de boussole : la gauche. A l’Assemblée, j’ai essayé de faire infléchir la majorité (LaREM) sur la précarité, les inégalités sociales »... et j'en passe et des meilleures ! On connaît un candidat FI qui, en 2017, appelait ça, la rejetant avec dégoût "la tambouille". Aujourd'hui, il semble bien aimer la tambouille.
Le gouvernement va nous être livré aujourd'hui, nous promet on... et beaucoup de suppositions : les paris sont ouverts sur les départs et les arrivées. On découvre aussi, au fur et à mesure de leur publication et de leur officialisation, le nom de certains candidats aux élections législatives. Les "prises de guerre" font légion : certains candidats élus lors des législatives de 2017, sont à nouveau en lice mais sous un étiquetage différent. On connaît déjà le nom d'Aurélien Trouvé, passé du PS à LaRM, et aujourd'hui défendant son siège sous les couleurs de la NUPES... Un retournement de veste qui n'est pas isolé : le plus célèbre, le mathématicien et médaillé Fields Cédric Villani, espère conserver son siège dans la 5e circonscription de l’Essonne, cette fois sous les couleurs de la NUPES. « Le problème de Macron de façon générale, c’est que son programme n’est pas clair et ne repose que sur l’opinion du leader », estime-t-il. Dans les Alpes-de-Haute-Provence, l’ex-LaREM Delphine Bagarry, désormais candidate NUPES, reconnaît qu’il a fallu « convaincre de sa sincérité » les militants. « J’explique. Je n’ai jamais changé de boussole : la gauche. A l’Assemblée, j’ai essayé de faire infléchir la majorité (LaREM) sur la précarité, les inégalités sociales »... et j'en passe et des meilleures ! On connaît un candidat FI qui, en 2017, appelait ça, la rejetant avec dégoût "la tambouille". Aujourd'hui, il semble bien aimer la tambouille.
Maroc - Hammouni : un véritable traitement de choc et non pas un doliprane pour la conjoncture actuelle
Hammouni, président du groupe PPS à la chambre des représentants (députés) et figure les plus en vue de son parti et de l'opposition, détaille pour le quotidien Al Adhath Al Magribia les raisons de l’intensification de la coordination entre partis de l’Opposition, et estime que «la Majorité pense que son avantage numérique en termes de sièges parlementaires lui donne raison pour faire tout ce qu’elle veut». Selon lui, un gouvernement politique fort s’efforce de chercher des solutions durables aux problématiques loin des «discours mielleux et calmants, car la conjoncture actuelle nécessite un véritable traitement et non un doliprane».
Hammouni, président du groupe PPS à la chambre des représentants (députés) et figure les plus en vue de son parti et de l'opposition, détaille pour le quotidien Al Adhath Al Magribia les raisons de l’intensification de la coordination entre partis de l’Opposition, et estime que «la Majorité pense que son avantage numérique en termes de sièges parlementaires lui donne raison pour faire tout ce qu’elle veut». Selon lui, un gouvernement politique fort s’efforce de chercher des solutions durables aux problématiques loin des «discours mielleux et calmants, car la conjoncture actuelle nécessite un véritable traitement et non un doliprane».
Maroc - le directeur général de la RADEEF en cabane
La Chambre criminelle chargée des crimes financiers près la Cour d’appel de Fès a condamné l’ex-DG de la Régie autonome intercommunale de distribution d’eau et d’électricité de Fès (RADEEF) à un an de prison ferme et à une amende de 20.000 DH. Il a été jugé coupable de corruption. L’affaire remonte à octobre 2021 quand un entrepreneur a averti les autorités locales que le DG de la RADEEF tente de l’extorquer. La Régie tardait à honorer ses engagements financiers envers l’entrepreneur, et son DG exigeait une contrepartie sous la table pour débloquer la situation. Un piège lui a été tendu et il a été arrêté en possession de l’argent extorqué à l’entrepreneur.
La Chambre criminelle chargée des crimes financiers près la Cour d’appel de Fès a condamné l’ex-DG de la Régie autonome intercommunale de distribution d’eau et d’électricité de Fès (RADEEF) à un an de prison ferme et à une amende de 20.000 DH. Il a été jugé coupable de corruption. L’affaire remonte à octobre 2021 quand un entrepreneur a averti les autorités locales que le DG de la RADEEF tente de l’extorquer. La Régie tardait à honorer ses engagements financiers envers l’entrepreneur, et son DG exigeait une contrepartie sous la table pour débloquer la situation. Un piège lui a été tendu et il a été arrêté en possession de l’argent extorqué à l’entrepreneur.
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