- alain
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Localisation : EL JADIDA (Maroc)
21112023
Au fil de l'actualité
22 novembre
22 novembre
Gaza - Une guerre qui sent le pétrole... L’attaque meurtrière du Hamas le 7 octobre a pour conséquence le gel de la normalisation des relations entre Israël et l’Arabie saoudite, seule à même de permettre la mise en place d’un corridor économique reliant la région à l’Europe via les ports israéliens d’Ashkelon et Haïfa. Une voie nécessaire pour ne plus dépendre des combustibles fossiles russes. Pour cela, l’enclave palestinienne doit être sous contrôle, Israël faisant partie du projet qui vise à construire un corridor économique reliant l’Inde, l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis (EAU), la Jordanie, Israël et l’UE par le biais de ports maritimes et de voies ferroviaires, dans le but de rendre le commerce plus rapide et moins cher et, comme il est officiellement énoncé, de stimuler la coopération économique et la connectivité numérique dans la région.
Gaza - Une trêve conclue... L’accord conclu mercredi 22 novembre entre Israël et le Hamas, par l’intermédiaire du Qatar, prévoit la libération de 50 otages détenus par le Hamas, en contrepartie d’une trêve de quatre jours ainsi que de la libération d’une centaine de prisonniers palestiniens. Dans la bande de Gaza, les bombardements se poursuivent et la situation humanitaire ne cesse de se dégrader.
Maroc - Jorf-Lasfar, 1er port marocain... Hors Tanger-Med, le port de Jorf-Lasfar est le premier port de marchandises du Maroc avec 34 millions de tonnes suivi de Casablanca (25 millions) et d'Agadir (6 millions).
Lu dans la presse quotidienne marocaine de langue arabe
Des drones contre les zones anarchiques... C'est Abassah qui le dit : les autorités de Casablanca-Settat sont actuellement assistées par des drones pour repérer et lutter contre les points noirs de la région. Exploitation illégale de biens publics, entrepôts et souks non autorisés, lieux de rassemblement de carrosses et d'animaux... Les drones aident à détecter avec précision les zones d'intervention et permettent aux autorités d'agir efficacement.
Les grandes manoeuvres se préparent dans la majorité, selon Al Ahdath Al Maghribia. On prépare la "deuxième mouture", dit le journal. La composition du gouvernement va changer, croit savoir le quotidien, et il y aurait quelques "chaises musicales" en vue parmi les présidents des conseils des grandes villes. "On ne change pas une équipe qui gagne", dit-on couramment. Cela voudrait-il être la reconnaissance que l'équipe n'est pas en train de réussir ?
Enseignement : la grève qui dure, semble une épine dans le pied d'Akhannouch... Partout des manifestations se produisent avec une forte mobilisation des enseignants telle qu'aujourd'hui à El Jadida. Si l'on en croit Al Akhbar, les présidents des groupes parlementaires se seraient réunis pour proposer leur médiation entre le gouvernement et les enseignants arguant du fait qu'ils seraient à même de proposer des solutions pour débloquer la situation. Ceci tendrait à prouver que le gouvernement de maitrise plus la situation...
On n'attire pas les mouches avec du vinaigre... Si 86 000 vendeurs ambulants sur 126 000 recensés ont reçu des aides d'un programme d'assistance qui leur est destiné (d'après le ministre de l'Inclusion économique, Younes Sekkouri), il n'est pas sûr que les dites aides destinées à les attirer vers le secteur formel selon Assahraâ Al Maghribia, soit de nature à les faire tomber à pieds joints dans le piège tendu...
Affrontement du PJD et du RNI sur un marché public visé par Afriquia Gaz... Le fait que "Afriquia Gaz", entreprise appartenant à la Holding familiale AKWA Group du chef du gouvernement, et "Green of Africa", copropriété de ce dernier et de "O CAPITAL GROUP", remporte le marché de la réalisation de la grande station de dessalement d'eau de mer de Casablanca, a mené à un "affrontement verbal" entre le groupement du PJD et le groupe du RNI à la Chambre des Représentants, selon Al Massae. Le PJD suspecte un conflit d'intérêts et le RNI assure qu'il y en a aucun, Aziz Akhannouch s'étant retiré de ses missions au sein de la Holding. Toujours le spectre de la prise illégale d'intérêts...
La diplomatie peut mener à la case prison... C'est Bayane Al Yaoum qui le révèle : un ex-diplomate marocain a été condamné à huit ans de prison ferme par la chambre criminelle de première instance près la Cour d'appel de Rabat. Le concerné attirait des filles mineurs vers des lieux privés et prenait des photos d'elles dans des positions indécentes, entre autres. La Cour l'a également condamné à verser 200.000 DH en guise de dédommagement à ses victimes dont le nombre est de six.
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