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Résider au Maroc : les démarches
10 résultats trouvés pour economie
- le Lun 28 Oct 2019, 11:00
- Rechercher dans: 2.2.5 Economie
- Sujet: le haras national d'El Jadida
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- Vues: 340
le haras national d'El Jadida
Le haras national d'El Jadida
Avec le salon du cheval qui se tient chaque année au mois d'octobre, El Jadida est bien la capitale marocaine du cheval d'autant plus que son petit haras régional que les marcheurs jdidis avaient l'habitude de visiter lors de parcours pédestres organisés, est devenu, après d'important travaux, l'un des cinq haras nationaux que compte le Maroc.
A l'occasion du salon du cheval, le haras a ouvert ses portes aux médias nationaux. "360.ma" en rapporte un compte rendu vidéo que nous reproduisons ici même.
Mehdi Heurteloup pour \"360.ma" a écrit:Le Salon du Cheval s’est tenu du 15 au 20 octobre dernier à El Jadida, la société royale d’encouragement du cheval (SOREC) a invité la presse nationale a visiter le haras de la ville. Les haras nationaux sont en effet au cœur du développement de la filière équine au Maroc. En images, voici pourquoi.La Société royale d’encouragement du cheval (SOREC), en marge de la douzième édition du salon du cheval d’El Jadida, qui s’est tenu du 15 au 20 octobre dernier, a convié la presse à la visite de l'un des haras nationaux, celui d’El Jadida.Le Maroc est en effet doté de cinq haras, qui ont connu un renouveau depuis qu’ils ont été affilisé à la SOREC en 2011, une année qui correspond au lancement de la stratégie de la filière équine dans le royaume.Ainsi les haras nationaux sont devenus la pierre angulaire, le cœur et le moteur de la SOREC, pour le développement de la filière équine, dans ses différents aspects, à travers l'ensemble du pays.Situés à Meknès, El Jadida, Oujda, Bouznika et Marrakech, ces haras couvrent l’ensemble du territoire du royaume. Leurs missions sont multiples et touchent l’ensemble de l’écosystème du cheval.En matière de reproduction, pour accompagner les éleveurs et développer les élevages, les haras assurent la fourniture de semences fraiches ou congelées, la mise à disposition d’étalons génétiquement de haute qualité, achetés ou loués par la SOREC. Un accompagnement est également offert, avec la mise à disposition de stations de monte, ou de centres d’insémination à travers les 45 CPEE (Centres de promotion de l'élevage équin), satellites des haras nationaux, pour se rapprocher des éleveurs.Un suivi vétérinaire est également assuré, pour garantir un produit de qualité.En matière d’enregistrements et de suivi, les haras nationaux gèrent les inscriptions aux stud-books (soit le registre généalogique) des cinq races présentes au Maroc: le pur-sang Arabe, le pur-sang Anglo-arabe, le pur-sang Anglais, le cheval Barbe et l’Arabe Barbe.Pour promouvoir le cheval et accroitre les débouchés de son utilisation, les haras nationaux s’impliquent dans l’organisation, tout au long de l’année, des concours de Tbourida et des concours d’élevages. Concernant les courses hippiques, les haras gèrent la remise des aides pour les courses, des primes de naissances et des primes d’éleveurs.Cette implication des haras nationaux a ainsi permis:- d’augmenter de 31% le nombre de naissances annuelles entre 2011 et 2018, qui s’établissent désormais à 4.300 naissances, avec une nette amélioration de la qualité génétique du cheptel, qui compte 110.000 chevaux.- La sauvegarde des races nationales Barbe et Arabe-Barbe, qui étaient en perte de vitesse. Aujourd’hui 100% des chevaux qui participent aux concours de Tbourida sont de race Barbe ou Arabe-Barbe, contre 45% en 2015.- La production de purs-sangs de qualité, qui participent aux courses internationales.Au sein du haras d'El Jadida, il existe aussi des ateliers où travaillent des maréchaux-ferrants, ceux en charge de placer les fers sous les sabots des chevaux, ainsi que des selliers-bourreliers, en charge de réaliser toutes les pièces en cuir indispensables à la pratique des sports équestres (selles, harnais, sangles, brides, etc.).Les haras nationaux abritent aussi des clubs équestres.En somme, des lieux idéaux pour la pratique de l’équitation ou pour une simple balade dominicale.
#cheval #salonducheval #économie
- le Dim 12 Juin 2016, 09:52
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- Sujet: BREVES - Autoentreprises : bilan d'étape positif
- Réponses: 0
- Vues: 546
BREVES - Autoentreprises : bilan d'étape positif
Autoentreprises : bilan d'étape positif... un dispositif ressemblant à celui mis en place en France, permet aux "informels" de s'afficher au grand jour. Le dispositif, entré en action en septembre 2015, connaît un vif succès puisque 20 552 personnes s'étaient déjà inscrites à fin mai 2016. On sait que le Maroc regorge de petites "entreprises" non déclarées et que cela constitue un manque à gagner pour l'Etat. Une étude de 2007 avait recensé quelque 1,5 millions d'informels qui produisent un chiffre d'affaires évalué à 279 milliards de dirhams. L'autoentreprise permet une simplification à l'extrême des formalités et une couverture sociale (maladie et retraite). Le gouvernement avait tablé sur 100 000 autoentrepreneurs à l'horizon 2020 : il conviendra de revoir à la hausse ces prévisions.12 juin 2016
#autoentreprise #économie
- le Lun 17 Aoû 2015, 10:08
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- Sujet: L'algue rouge : mettre fin à l'anarchie
- Réponses: 0
- Vues: 1080
L'algue rouge : mettre fin à l'anarchie
L'algue rouge : mettre fin à l'anarchie
El Jadida constitue la première zone de récolte de l'algue rouge au Maroc (80 % de la production marocaine). Chaque année on assiste à une effervescence qui se produit dès l'ouverture de la campagne de ramassage. C'est qu'en effet, cette activité saisonnière qui, normalement, dure deux mois, constitue une ressource importante pour quelques 10 000 personnes, hommes, femmes et enfants.
On a bien constaté que ces périodes de pêche avaient tendance, au fur et à mesure des années, à se prolonger hors périodes officielles. Or, l'algue rouge est une ressource qui s'épuise et les autorités ont bien pris conscience de cette variable incontournable, d'où la réaction du ministère des pêches maritimes qui a, pour la campagne 2015, institué une réglementation constituée par :
- la mise en place de quotas de pêche individuels afin de contrecarrer la pêche illégale et cerner les flux des algues pêchées
- la définition de 4 sites de débarquement aménagés (Chtouka, ports d'El Jadida et de Jorsf-Lasfar, Sidi Abed)
- l'amélioration des conditions de travail
- la couverture sociale (CNSS...)
L'objectif est de permettre d'assurer la conservation de la ressource et sa traçabilité, mais également l'augmentation des revenus des acteurs de ces pêches. C'est la raison pour laquelle le ministère, en fixant les quotas qui, pour la province d'El Jadida seront de 3 900 tonnes d'algues sèches (environ 14 000 tonnes humides), a défini le prix 3,25 dirhams/kg de produit humide.
Mettre fin aux conditions dangereuses de pêche (relire l'article de notre regretté ami, Michel AMMENGUAL : les alguiers ) au moyen de barques non déclarées ou de pneus de poids lourds est, également, un objectif que s'est assigné le ministère.
Ces contraintes ont eu pour effet de provoquer des manifestations et la délégation des pêches maritimes, chargée de l'application de ces mesures, a dû user de persuasion afin d'expliquer les bienfaits des dispositions prises.
Les services de la délégation des pêches maritimes ont procédé à des contrôles des stocks physiques de sociétés ou coopératives de collecte de l'algue rouge et ont constaté des fraudes dans cinq d'entre elles détenant des algues illégalement ramassées.
Toutes ces mesures seront-elles suivies d'effet ? On peut légitimement se poser la question, même si le Délégué provincial aux pêches maritimes insiste sur le fait que « toutes ces actions ont été prises dans le but de préserver la ressource en tant que patrimoine national et provincial, assurer une exploitation rationnelle et durable et garantir sa pérennité pour les générations actuelles et futures », un certain nombre de manifestants demeurant sur des positions tendant à abolir les quotas et de faire perdurer les sites illégaux de débarquement, notamment celui de Moulay-Abdallah.
#economie #alguerouge- le Mer 18 Fév 2015, 21:45
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- Sujet: Nouveaux investissements à El Jadida pour l'équipementier auto français BONTAZ
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Nouveaux investissements à El Jadida pour l'équipementier auto français BONTAZ
Nouveaux investissements à El Jadida pour l'équipementier auto français BONTAZ
Selon le Centre Régional d'Investissement, l'équipementier automobile français déjà installé à El Jadida depuis 2013 sur 9 000 m2, envisage :
- d'investir 400 millions de dirhams sur son site
- de créer une deuxième unité de production toujours dans la région Doukkala Abda
- le Jeu 13 Nov 2014, 14:43
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- Sujet: Tourisme : nouveaux investissements pour assurer le décollage touristique de la Province d'El Jadida
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Tourisme : nouveaux investissements pour assurer le décollage touristique de la Province d'El Jadida
Tourisme :
nouveaux investissements pour assurer le décollage touristique de la Province d'El Jadida
La mise en adéquation de la capacité d'accueil hôtelier et de l'attraction touristique de la province d'El Jadida nécessite un effort en matière d'investissement.
En effet, nous mesurons chaque année, en période estivale, la pression exercée par l'activité croissante due à l'affluence des visiteurs attirés par les plages réputées et la richesse du patrimoine culturel.
La situation actuelle de la capacité d'accueil touristique ne correspond plus aux besoins réels et croissants de la province.
31 établissements classés, 14 unités d'hébergement non classés et les maisons d'hôtes et club possède une capacité d'accueil totale de 3 212 lits. On mesure donc, à travers ce simple chiffre, l'insuffisance criante de la province en la matière. Dans le même temps et durant les 8 premiers mois de l'année 2014, l'affluence touristique a cru de 7 %. Les efforts conjugués des projets publics et privés tendent à combler le déficit criant.
16 projets touristiques pour un montant d'investissements total de 426,7 millions de dirhams sont en cours de réalisation et permettront d'augmenter la capacité d'accueil de 1 960 lits supplémentaires répartis sur 9 communes de la province (El Jadida, Boulaouane, Moulay-Abdellah notamment) sous forme de campings, résidences touristiques, hôtels et maisons d'hôtes.
10 autres projets sont en cours d'étude et permettront de compléter l'offre touristique de la province par la création de 2 000 lits supplémentaires pour un coût total de 342,2 millions de dirhams.
Outre le fait que ces projets ont ou auront une incidence positive sur la capacité touristiques, ils permettront également et naturellement de booster l'emploi dans une zone où le chômage atteint 10,8 % de la population active.
- le Lun 21 Juil 2014, 14:15
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- Sujet: Electro-planète s'installe à El Jadida
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- Vues: 1140
Electro-planète s'installe à El Jadida
Electro-planète s'installe à El Jadida
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Notre ami Jean-Claude Baudais, s'est rendu dans la nouvelle grande surface dédiée à l'électro-ménager. Il nous en parle en ces termes :
Jean-Claude Baudais a écrit:Ouverture d'une grande surface "Electro-Planète" sur le parking de Marjane, en face de celui-ci. Le magasin propose, apparamment, tout ce qu'un Européen peut désirer, à l'exception des GPS....
Gageons que nos concitoyens, avides des dernières nouveautés en la matières, vont faire la même démarche que notre ami...
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- le Lun 10 Mar 2014, 14:10
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- Sujet: Vers un réaménagement de la façade maritime d'El Jadida
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- Vues: 1547
Vers un réaménagement de la façade maritime d'El Jadida
Vers un réaménagement de la façade maritime d'El Jadida
Une étude est actuellement menée afin de corriger les insuffisances et les dysfonctionnements urbains ainsi que d'exploiter les potentialités et les atouts de la façade maritime.
Le but définitif du projet permettra d'offrir aux visiteurs une voie routière, côtière et continue, de l'entrée de la ville à Sidi-Bouzid. Il s'agit là de la continuité du réaménagement du littoral après l'ouverture de l'axe qui longe l'océan de la cité portugaise à El Jadida.
L'étude actuelle porte donc sur l'aménagement des voies côtières dans El Jadida intra-muros et notamment celui d'une voie routière sur la portion actuellement piétonne entre le parc Mohamed V et l'hôtel Marhaba. Il s'agira également de procéder à la mise en valeur des sites historiques et touristiques que recèle l'ancienne Mazagan. Cette vision assurera la promenade en voiture sur toute la côte et sur 20 km. à partir du complexe touristique de Mazagan jusqu'à Sidi-Bouzid en passant par El Jadida.
De plus, l'étude préconise la mise en place de quartiers à vocation touristique, offrant en plus de la fonction hôtelière et résidentielle balnéaire, des services commerciaux, de restauration et de loisirs aux deux entrées de la ville, aussi bien du côté de Casablanca que du côté de Sidi Bouzid.
Cette nouvelle étude et future réalisation démontre à qui voudrait en être persuadé, qu'en matière de développement économique de la ville, aucun pôle n'est négligé : le tourisme constitue bien un axe de développement que les décideurs ont pris en compte. Un petit bémol à notre "enthousiasme" : la verrue que constitue le complexe de Mazagan qui coupe la circulation autrefois possible jusqu'à la station balnéaire de Haouzia. Peut-être que l'étude offrira une solution : en tout cas, c'est ce que nous souhaitons.
#économie #urbanisation- le Mar 04 Mar 2014, 18:57
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- Sujet: De nouveaux bus enfin en service
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De nouveaux bus enfin en service
De nouveaux bus enfin en service
Samedi 1er mars 2014 avait lieu une cérémonie que surement les jdidis attendaient depuis fort longtemps : l'inauguration en présence de M. le Gouverneur de la Province des nouveaux bus chargés du transports urbain et interurbain... des bus flambant neuf et qui vont très avantageusement remplacer les véritables charrettes déglinguées et pourries, indignes de transports de voyageurs.
La société Karama-bus a mis en service une cinquantaine de bus et mini-bus de marque TATA. Ladite société remplace désormais la société AZAMA qui, visiblement, avait laisser dépérir son parc d'autobus arrivés largement en bout de course. Souvent en panne parce que l'entretien était plus que sommaire, les anciens bus devenaient des engins à risques et de surcroît pollueurs.
La nouvelle société a conclu un contrat de délégation de service de quinze ans avec à la clé un investissement de 224 millions de dirhams afin de desservir le "grand El Jadida" soit la ville plus les cinq communes limitrophes que sont Azemmour, Moulay-Abdallah, Haouzia, Ouled Hcine, Sidi Ali Ben Hamdouch.
Les prix du transport varieront en 3 et 5 dirhams selon les trajets avec possibilités d'abonnements mensuels de 200 dirhams (100 dirhams pour les scolaires).
- le Mar 18 Fév 2014, 14:34
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- Sujet: Implantation à Jorf-Lasfar du plus grand terminal pétrolier du Maroc
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- Vues: 1047
Implantation à Jorf-Lasfar du plus grand terminal pétrolier du Maroc
Implantation à Jorf-Lasfar du plus grand terminal pétrolier du Maroc
C'est d'ici la fin de l'année que sera entrepris le chantier de construction du plus grand terminal pétrolier du Maroc sur le site de Jorf-Lasfar.
Décidément, le port au sud d'El Jadida prend une place moteur dans le développement économique de la Province. Implanté sur une surface de 22 hectares, le terminal pétrolier aura une capacité de stockage de 600 000 m3 , permettant d'augmenter le stockage total en hydrocarbures du Maroc de 50 %. Il sera en mesure de recevoir des tankers de 100 000 m3. L'investissement estimé à 88,8 millions d'euros fera ainsi face à l'augmentation de la demande marocaine en matière de gaz butane et de carburants.
#économie
- le Mer 25 Déc 2013, 10:55
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- Sujet: Beau fixe sur l'économie jdidie
- Réponses: 1
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Beau fixe sur l'économie jdidie
Beau fixe sur l'économie jdidie
le port de Jorf-Lasfar
La fin de l'année est toujours un moment propice à un retour sur un passé récent. Alors qu'au plan mondial et national, la morosité ambiante reflète l'état d'esprit général, l'économie jdidie semble hors de ces vicissitudes. Certes, il ne convient pas de tomber dans un optimisme béat mais il n'en demeure pas moins que la Province connaît le taux de chômage le plus faible du Royaume.
Il semble bien qu'en misant sur l'ensemble des secteurs de l'économie jdidie sans en négliger aucun, la Province décolle à une vitesse grand V. Certes, celle-ci possède naturellement des atouts divers et variés. Mais le mérite de sa gouvernance réside, nous semble-t-il, dans le fait que chacun est valorisé afin d'en tirer le meilleur profit pour la population locale.
Faut-il le rappeler, El Jadida c'est :
- un arrière pays agricole, véritable jardin potager du Maroc, avec de belles terres et un système d'irrigation à la pointe ;
- un tourisme en plein essor favorisé par de magnifiques plages qui fait d'El Jadida le « Deauville marocain »
- une industrie chimique et un pôle portuaire minéralier, Jorsf-Lasfar, en plein développement valorisé par l'opérateur national incontournable qu'est l'O.C.P.
C'est ainsi que l'année 2013 se termine avec un palmarès national éloquent pour la Province d'El Jadida :
- 1er en matière d'investissement étranger avec 58 milliards de dirhams
- 1er en matière d'augmentation des destinations touristiques (+60 %) devant les chevronnés que sont Essaouira (+50 %), Casablanca ou Marrakech
- le pôle qui, grâce à Jorsf-Lasfar et les investissements de l'OCP (63 milliards de dirhams et 5000 emplois générés), est en passe de la faire devenir 1ère province « intelligente » du Royaume, notamment avec l'implantation d'un centre de recherche.
La dynamique OCP a permis le création d'une unité de conditionnement de la pulpe de phosphate et 10 nouvelles usines de production d’engrais réalisées avec la participation d'investisseurs étrangers. Le projet Downstream, vise à filtrer et sécher la pulpe de phosphate transportée par le futur pipeline des mines de Khouribga dans le but d’obtenir du phosphate sec destiné à l’exportation.
Toute cette ébullition industrielle au sud d'El Jadida, pose des problèmes environnementaux : un souci pris en compte par les décideurs notamment par la réalisation d'une station d'épuration, d'un émissaire en mer, de la ceinture verte autour de Jorsf-Lafar et d'une ville verte sur 1500 ha faisant la jonction entre Azemmour et El Jadida.
Enfin, le facteur humain n'a pas été négligé. Tout ce développement en marche forcé nécessite la formation des hommes. C'est pourquoi l'implication de l’OFPPT (office de formation professionnelle marocain) est déterminante.
En résumé, nous pouvons dire et constater de visu la transformation d'El Jadida, son implication dans le développement de l'économie du Royaume.
Il semble bien qu'en misant sur l'ensemble des secteurs de l'économie jdidie sans en négliger aucun, la Province décolle à une vitesse grand V. Certes, celle-ci possède naturellement des atouts divers et variés. Mais le mérite de sa gouvernance réside, nous semble-t-il, dans le fait que chacun est valorisé afin d'en tirer le meilleur profit pour la population locale.
Faut-il le rappeler, El Jadida c'est :
- un arrière pays agricole, véritable jardin potager du Maroc, avec de belles terres et un système d'irrigation à la pointe ;
- un tourisme en plein essor favorisé par de magnifiques plages qui fait d'El Jadida le « Deauville marocain »
- une industrie chimique et un pôle portuaire minéralier, Jorsf-Lasfar, en plein développement valorisé par l'opérateur national incontournable qu'est l'O.C.P.
C'est ainsi que l'année 2013 se termine avec un palmarès national éloquent pour la Province d'El Jadida :
- 1er en matière d'investissement étranger avec 58 milliards de dirhams
- 1er en matière d'augmentation des destinations touristiques (+60 %) devant les chevronnés que sont Essaouira (+50 %), Casablanca ou Marrakech
- le pôle qui, grâce à Jorsf-Lasfar et les investissements de l'OCP (63 milliards de dirhams et 5000 emplois générés), est en passe de la faire devenir 1ère province « intelligente » du Royaume, notamment avec l'implantation d'un centre de recherche.
La dynamique OCP a permis le création d'une unité de conditionnement de la pulpe de phosphate et 10 nouvelles usines de production d’engrais réalisées avec la participation d'investisseurs étrangers. Le projet Downstream, vise à filtrer et sécher la pulpe de phosphate transportée par le futur pipeline des mines de Khouribga dans le but d’obtenir du phosphate sec destiné à l’exportation.
Toute cette ébullition industrielle au sud d'El Jadida, pose des problèmes environnementaux : un souci pris en compte par les décideurs notamment par la réalisation d'une station d'épuration, d'un émissaire en mer, de la ceinture verte autour de Jorsf-Lafar et d'une ville verte sur 1500 ha faisant la jonction entre Azemmour et El Jadida.
Enfin, le facteur humain n'a pas été négligé. Tout ce développement en marche forcé nécessite la formation des hommes. C'est pourquoi l'implication de l’OFPPT (office de formation professionnelle marocain) est déterminante.
En résumé, nous pouvons dire et constater de visu la transformation d'El Jadida, son implication dans le développement de l'économie du Royaume.
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