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alain- Messages : 11382
Date d'inscription : 11/04/2011
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Localisation : EL JADIDA (Maroc)
02112023
Au fil de l'actualité
03 novembre
Israël-Hamas - Les frères "ennemis"... Personne n’est dupe dans la guerre qui se déroule actuellement entre le Hamas et Israël et que le peuple Gazaoui paye au prix fort, il y a d’autres acteurs. Les États-Unis et l’Iran bien sûr, mais aussi un petit émirat qui fait parler de lui depuis maintenant plusieurs années : le Qatar. Le Qatar verse environ 30 millions de dollars par mois à la bande de Gaza. Ce financement aurait débuté en 2007, avec la bénédiction des gouvernements israéliens successifs qui voyaient là un moyen de soutenir le Hamas afin d’affaiblir l’Autorité palestinienne et annihiler toute solution politique à deux États. À tel point que Netanyahou, en 2019, expliquait aux députés du Likoud : « Qui veut empêcher la création d’un État palestinien doit soutenir le renforcement du Hamas et le transfert de fonds au Hamas. » L’émirat est l’un des bailleurs de fonds du Hamas, mais il reste l’interlocuteur voire l’ami des États occidentaux… Non sans un brin d’hypocrisie. Gaza - Crimes de guerre ?... On se réveille aux Nations-Unis et timidement on parle enfin de "potentiels" crimes de guerre à propos des frappes "disproportionnées" contre l'enclave palestinienne. Les ruptures des relations diplomatiques avec Israël se succèdent : on ne veut pas être catalogué de complicité... Le secrétaire d'Etat américain, Blinken, est de retour au Proche-Orient malmené qu'il est aux Etats-Unis par une population qui se mobilise contre les crimes dont se rendent complices leurs dirigeants et en premier lieu, le Président Biden qui parle désormais d'une "pause" dans les frappes afin de sortir de la bande de Gaza les Américains qui y sont piégés. Le sénile de Washington est également un cynique personnage, complice des crimes perpétués par Netanyahou sur les camps de réfugiés dont ils savent, l'un et l'autre, qu'ils sont habités par des civils sans défense... Lu dans la presse quotidienne de langue arabe
C'est l'histoire classique d'un trafic au détriment de l'Etat que nous révèle Assabah : la manipulation des quantités de blé tendre importées afin de percevoir le soutien financier instauré par le gouvernement. Les autorités ont décidé de maintenir l'exonération douanière de cette denrée pour garantir l'approvisionnement suffisant du marché national. Mais quelques importateurs, voyant les prix des autres céréales grimper, ont commencé à fournir les industriels d'aliments composés pour bétail en blé tendre à un prix alléchant. L'ADII et l'ONICL ont convenu de se coordonner entre eux pour lutter contre cette pratique. La réforme de la Moudawana a pris son départ, nous annonce Al Ahdath Al Maghribia. L'instance chargée de la révision du Code de la famille a entamé ses consultations mercredi dernier. Des séances d'écoute et d'audition ouvertes aux instances officielles concernées par la question de la famille ont débuté sous la présidence du ministre de la Justice et auxquelles assistent le président délégué du CSPJ, du président du Ministère public, du secrétaire général du Conseil supérieur des Oulémas, de la présidente du CNDH et de la ministre de la Solidarité, de l'Insertion sociale et de la Famille.
Flambée des prix de l'huile d'olive... Malgré l'interdiction d'exporter, les prix de l'huile d'olive ne cessent de grimper, nous dit Al Massae, ce qui provoque la colère des Marocains. Le prix moyen du litre d'huile d'olive avoisine les 85 dirhams le litre.
Pour Bayane Al Yaoum, le recensement général constitue le dossier du jour. Nous apprenons que 1 500 agents cartographes sont mobilisés par le Haut commissariat au plan (HCP). Prévu en 2024, le recensement va débuté en avril pour une durée de 14 mois.
Grèves des enseignants : le ministère promet des retenues sur salaires. Face à l'enchainement des grèves nationales des enseignants et cadres pédagogiques contre le nouveau statut unifié des fonctionnaires du ministère de l'Éducation nationale, ce dernier monte au créneau, selon Assahrâa Al Maghribia. La tutelle a émis une correspondance au directeur des dépenses des fonctionnaires à la Trésorerie générale du Royaume, appelant à imposer les retenues nécessaires sur les salaires des grévistes. Pas de quoi améliorer la popularité du ministre...
03 novembre
Israël-Hamas - Les frères "ennemis"... Personne n’est dupe dans la guerre qui se déroule actuellement entre le Hamas et Israël et que le peuple Gazaoui paye au prix fort, il y a d’autres acteurs. Les États-Unis et l’Iran bien sûr, mais aussi un petit émirat qui fait parler de lui depuis maintenant plusieurs années : le Qatar. Le Qatar verse environ 30 millions de dollars par mois à la bande de Gaza. Ce financement aurait débuté en 2007, avec la bénédiction des gouvernements israéliens successifs qui voyaient là un moyen de soutenir le Hamas afin d’affaiblir l’Autorité palestinienne et annihiler toute solution politique à deux États. À tel point que Netanyahou, en 2019, expliquait aux députés du Likoud : « Qui veut empêcher la création d’un État palestinien doit soutenir le renforcement du Hamas et le transfert de fonds au Hamas. » L’émirat est l’un des bailleurs de fonds du Hamas, mais il reste l’interlocuteur voire l’ami des États occidentaux… Non sans un brin d’hypocrisie. Gaza - Crimes de guerre ?... On se réveille aux Nations-Unis et timidement on parle enfin de "potentiels" crimes de guerre à propos des frappes "disproportionnées" contre l'enclave palestinienne. Les ruptures des relations diplomatiques avec Israël se succèdent : on ne veut pas être catalogué de complicité... Le secrétaire d'Etat américain, Blinken, est de retour au Proche-Orient malmené qu'il est aux Etats-Unis par une population qui se mobilise contre les crimes dont se rendent complices leurs dirigeants et en premier lieu, le Président Biden qui parle désormais d'une "pause" dans les frappes afin de sortir de la bande de Gaza les Américains qui y sont piégés. Le sénile de Washington est également un cynique personnage, complice des crimes perpétués par Netanyahou sur les camps de réfugiés dont ils savent, l'un et l'autre, qu'ils sont habités par des civils sans défense... Lu dans la presse quotidienne de langue arabe C'est l'histoire classique d'un trafic au détriment de l'Etat que nous révèle Assabah : la manipulation des quantités de blé tendre importées afin de percevoir le soutien financier instauré par le gouvernement. Les autorités ont décidé de maintenir l'exonération douanière de cette denrée pour garantir l'approvisionnement suffisant du marché national. Mais quelques importateurs, voyant les prix des autres céréales grimper, ont commencé à fournir les industriels d'aliments composés pour bétail en blé tendre à un prix alléchant. L'ADII et l'ONICL ont convenu de se coordonner entre eux pour lutter contre cette pratique. La réforme de la Moudawana a pris son départ, nous annonce Al Ahdath Al Maghribia. L'instance chargée de la révision du Code de la famille a entamé ses consultations mercredi dernier. Des séances d'écoute et d'audition ouvertes aux instances officielles concernées par la question de la famille ont débuté sous la présidence du ministre de la Justice et auxquelles assistent le président délégué du CSPJ, du président du Ministère public, du secrétaire général du Conseil supérieur des Oulémas, de la présidente du CNDH et de la ministre de la Solidarité, de l'Insertion sociale et de la Famille. Flambée des prix de l'huile d'olive... Malgré l'interdiction d'exporter, les prix de l'huile d'olive ne cessent de grimper, nous dit Al Massae, ce qui provoque la colère des Marocains. Le prix moyen du litre d'huile d'olive avoisine les 85 dirhams le litre. Pour Bayane Al Yaoum, le recensement général constitue le dossier du jour. Nous apprenons que 1 500 agents cartographes sont mobilisés par le Haut commissariat au plan (HCP). Prévu en 2024, le recensement va débuté en avril pour une durée de 14 mois. Grèves des enseignants : le ministère promet des retenues sur salaires. Face à l'enchainement des grèves nationales des enseignants et cadres pédagogiques contre le nouveau statut unifié des fonctionnaires du ministère de l'Éducation nationale, ce dernier monte au créneau, selon Assahrâa Al Maghribia. La tutelle a émis une correspondance au directeur des dépenses des fonctionnaires à la Trésorerie générale du Royaume, appelant à imposer les retenues nécessaires sur les salaires des grévistes. Pas de quoi améliorer la popularité du ministre...Partager cet article sur :
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