- alain
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Date d'inscription : 11/04/2011
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Localisation : EL JADIDA (Maroc)
01072015
C'est eux qui le disent :
Latif Lahlou, monstre sacré du cinéma marocain et natif d'El Jadida
Un "monstre" du cinéma marocain a fait l'objet d'un hommage que lui a rendu dans la semaine du 20 au 26 juin 2015 le Parti du Progrés et du Socialisme (PPS) dont il est un des adhérents. Natif d'El Jadida, il nous a paru intéressant de souligner l'apport au cinéma contemporain, méconnu de notre communauté européenne récemment installée dans sa ville natale en formant l'espoir que, au travers de soirées cinématographiques à El Jadida, nous puissions découvrir ses films, maintes fois nominés...
Le 360 a écrit:Cinéma: le PPS rend hommage à Latif LahlouHommage à Latif Lahlou, cinéaste prolifique et militant humaniste aux multiples facettes! C’est le thème des soirées artistiques et culturelles prévues la semaine prochaine à Casablanca. Ces soirées, qui auront lieu les 24, 25 et 26 juin à partir de 22 heures au cinéma Ritz de Casablanca, sont organisées par l’espace cadres du PPS pour la région du Grand Casablanca.Au menu, des débats, des interventions d’éminents acteurs du domaine culturel et cinématographique. A l’occasion de cet hommage, l’œuvre cinématographique de Latif Lahlou sera à l’honneur avec une projection de deux de ses films réalisés, ainsi qu’un documentaire retraçant son itinéraire artistique et cinématographique. De même, la programmation sera riche et variée comportant des séances musicales ainsi qu’une table ronde sur le thème : «Questions de société et enjeux cinématographiques».Né en 1939 à El Jadida, Latif Lahlou a suivi une formation cinématographique à l’IDHEC de Paris (promotion 1959), et des études de sociologie à la Sorbonne. Rentré au Maroc, il a mené une brillante carrière cinématographique en réalisant d’abord des documentaires poignants sur le monde rural. En 1969, il produit son premier long métrage, «Soleil de printemps» imprégné de réalisme social.Producteur de renommée internationale, il continue à réaliser des longs métrages toujours inscrits dans une thématique d’enjeux sociétaux (la lutte des classes dans «Compromission», la vie de couple dans «Les Jardins de Samira» et les mutations sociales et générationnelles dans «La grande villa» et «L’anniversaire»).
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