- Marie Francoise
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15 février 2012 - Café Littéraire - Marie Laure DEPAULIS
Dim 12 Fév 2012, 10:28
Rendez vous à 19 heures à l'Institut Français
- Marie Francoise
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Re: 15 février 2012 - Café Littéraire - Marie Laure DEPAULIS
Dim 12 Fév 2012, 10:40
Rencontre animée par Abdelali Errhouni
Marie-Laure Depaulis est née en France où elle a enseigné l’italien pendant dix années. C’est un départ pour le Maroc qui l’incitat à s’adonner à l’écriture d’histoires mi-poétique, mi-imaginaire. Du plaisir qu’elle a éprouvé au cours de ses déambulations dans la ville blanche est né le recueil “Les promenades de Lina à Casablanca”.
“Les promenades de Lina à Casablanca” est une évocation poétique de flâneries urbaines imaginaires. Le lecteur est guidé par Lina, une jeune fille dont le comportement est induit par des curiosités qui éclosent au fil des rues. Dans la première partie du livre, les Chaises de Casablanca, Lina observe les chaises de sa ville pour en comprendre l’utilité. Ces objets quotidiens, oubliés par les passants pressés dans le décor des rues, prennent vie grâce à ce regard frais et naïf qui s’attarde sur elles. Dans la seconde partie, Ma maison blanche, Lina crée des associations entre les pièces de son appartement et les quartiers de sa ville. Réveillées par la fantaisie de cette jeune fille, les pièces deviennent des orateurs avertis et dévoilent à la maîtresse de ce jeu topographique d’insolites histoires casaouies.
[i]Marie-Laure Depaulis est née en France où elle a enseigné l’italien pendant dix années. C’est un départ pour le Maroc qui l’incitat à s’adonner à l’écriture d’histoires mi-poétique, mi-imaginaire. Du plaisir qu’elle a éprouvé au cours de ses déambulations dans la ville blanche est né le recueil “Les promenades de Lina à Casablanca”.
“Les promenades de Lina à Casablanca” est une évocation poétique de flâneries urbaines imaginaires. Le lecteur est guidé par Lina, une jeune fille dont le comportement est induit par des curiosités qui éclosent au fil des rues. Dans la première partie du livre, les Chaises de Casablanca, Lina observe les chaises de sa ville pour en comprendre l’utilité. Ces objets quotidiens, oubliés par les passants pressés dans le décor des rues, prennent vie grâce à ce regard frais et naïf qui s’attarde sur elles. Dans la seconde partie, Ma maison blanche, Lina crée des associations entre les pièces de son appartement et les quartiers de sa ville. Réveillées par la fantaisie de cette jeune fille, les pièces deviennent des orateurs avertis et dévoilent à la maîtresse de ce jeu topographique d’insolites histoires casaouies.
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