Ces énamourés de la macronie s’offrent même le luxe d’avoir comme président de groupe le dénommé Olivier Becht qui stakhanoviste du travail parlementaire s’offre une présence de 9% aux votes de l’assemblée nationale.

Nous avons repéré sur son dernier courrier le déguisement coutumier des bateleurs de foire politique qui sont capables à coup de logos et de mots creux vous faire  prendre des vessies pour des lanternes.

Exemple : Il écrit : "Pour le Financement de l’AEFE et l’accompagnement des parents d’élèves,la mise en oeuvre d’un plan de 240 millions d’Euros."

1 – Un plan sanitaire d’une enveloppe de 20 millions d’euros

2 – Un plan social d’une enveloppe de 50 millions d’euros

3 – Un plan éducatif de 150 millions d’euros : 50 millions d’euros pour les bourses et 100 millions d’euros pour l’AEFE et pour soutenir l’enseignement du Français à l’étranger.

Mj’id El Guerrab : "Les Français de l'étranger sont les ambassadeurs de l'excellence française à travers le monde". C’est certainement pour celà que Les Alliances française et les Instituts français en difficultés sont sciemment abandonnés dans ce plan.

Guerrab a voté avec son groupe contre la rachat de la dette  par la banque centrale européenne.Je le cite : "L'entente franco-allemande est à l'origine de la création d'un fonds de relance de 500 Milliards d'euros, et illustre parfaitement le poids de la volonté collective Ainsi, dans le contexte actuel il n’est pas raisonnable de remettre en cause le mandat et les statuts de la BCE, comme le recommande cette proposition de résolution."

Rappel 500 milliards d'euros pour l'ensemble de l'union européenne quand l'Allemagne s'offre un budget pharaonique  de 1200 milliards d'euros pour sauver ses entreprises de la crise économique causée par la pandémie du coronavirus (Covid-19). «C’est à peu près l’équivalent de ce qu’avait coûté la réunification entre la RDA et la RFA en 1989, compare Frédéric Berner, directeur général de la Chambre de commerce et d’industrie France-Allemagne.

Osons une comparaison temporel ce député ne sera jamais qu'un  agitateur de selfies de banquet où  l'instantané des chipolatas se superposent au gros plans de la jarretière de la mariée tandis que dans l'arrière cuisine discrètement les CDD remplissent dans de petits sacs en plastique des restes de poulets et quelques tranches de pain.