- CARLE
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Date d'inscription : 01/10/2017
24032021
Parlons de la gestion d’Evry où Emanuel Valls a été maire de 2001 à 2012: l’ancien maire ne regardait pas à la dépense. Pendant ses deux mandats, il a dépensé les deniers publics avec une grande constance. Dans une ville de 50.000 habitants comme Evry, par exemple, seul le directeur général des services est censé disposer d’une voiture de fonction. Or la Cour des comptes notait, dès 2006, que la commune en mettait 26 à disposition de ses agents, sans compter les 45 véhicules “de service”.
Même prodigalité pour les frais de communication, qui ont bondi de 852,6% entre 2001 et 2003. Pour 2012, le compte administratif donne le détail d’environ 800.000 euros pour ce poste (dont 110.000 dédiés à la seule édition de catalogues, d’imprimés et autres publications). Mais il ne fournit pas la moindre précision sur la ligne “divers” située juste au-dessous, dont la dépense est pourtant énorme (400.000 euros). “Vu l’intitulé, ce sont sans doute aussi des frais de communication, mais ils ont essayé de noyer le poisson pour éviter les questions”, assure Claude Jaillet. D’ailleurs, le département communication de la ville, qui n’existait quasiment pas à l’arrivée de Valls, occupait un étage entier d’une des ailes de la mairie en 2012.Voilà un Mr sur le retour où la presse paresseuse tend le micro et laisse cet imposteur "philopapoter" sur les élections à venir. A n’en pas douter c’est lui le porteur d’un’’ projet Républicain’’ oubliant que la deuxième République d’Espagne en 1931 avait donné le droit de vote aux femmes et prévu un statu d’autonomie pour la Catalogne il ne connait même pas l'histoire de son pays natal.
Il est toujours surprenant de la part d’un homme politique qui après s’être fait éliminer du jeu politique français avait imaginé un avenir politique espagnol et était venu nous parler de République. C’est lui qui a accepté le jeu de la monarchie parlementaire espagnol sans jamais se positionner sur le fait que de nombreux espagnols(55%) souhaitaient en 2020 un référendum pour choisir si le pays devait garder un régime monarchique ou se transformer en République.
Des affairistes politiques plus soucieux de leur avenir personnel que celui de la nation et du bien commun , il en est malheureusement le triste exemple. Que dire de la paresse intellectuelle des journalistes, et des chroniqueurs(es) qui reçoivent ces individus aux compétences douteuses et au bilan misérable pour les comptes publics. Quand la presse étrangère s’inquiète d’une dérive de la répression policière et des lois liberticides votées à la volée,la presse française elle, invite dans ses colonnes et sur ses plateaux les fraudeurs en col blanc qui s'offusquent qu’il puisse encore exister une justice en peau de lapin certes mais une justice.
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