21/07 - Nuits du Ramadan : Egschiglen

Egschiglen sont un mongol Folk band, formé en Oulan-Bator en 1991. En anglais Egschiglen signifie «belle mélodie", et ils sont l'un des très rares groupes traditionnels mongols être devenu populaire dans le reste du monde. Dès le début, Egschiglen mis au centre de leur travail artistique sur la musique contemporaine. Ils ont exploré systématiquement les dimensions sonores d'oeuvres de compositeurs mongols classique modernistes, en utilisant des instruments traditionnels de Mongolie et d'Asie centrale, y compris le morin khuur (sorte de violon à deux cordes en crin de cheval), tobshuur (un luth symbolisant la gorge d'un cygne que le cou) , joochin , techniques contrebasse, percussions et chant comme khöömii chant de gorge .
Leur musique se caractérise par la finesse et la transparence de la musique de chambre, mais aussi par sa, force irrésistible profondément naturel. Dans les performances de Egschiglen, des airs de tradition chamaniste ou bouddhistes, qui sont monnaie courante en Asie centrale, séduisent par leur diversité d'expression et leurs arrangements complexes.
Les musiciens aussi expérimenter avec équilibrage des actes entre les diverses cultures: au cours des années, Egschiglen a participé à un certain nombre de projets de coopération avec des musiciens de différents domaines culturels. En outre, dans une attitude détendue, ils présentent les dernières trouvailles de leur pays d'adoption, Franconie: matériel de chanson traditionnelle de la vallée de l'Altmühl, disposés comme un Khoomii mongole / morin khuur croisé, dont le groupe a sorti leur dernier album Gereg.
Les membres du groupe sont: Tumenbayar Migdorj, Tumursaihan Yanlav, Uuganbaatar Tsend-Ochir, Amartuwshin Baasandorj, Sarangerel Tserevsamba, qui sont accompagnés de concerts en direct par la danseuse Ariuanaa Tserendavaa.

Le groupe Oulad Lhaloui joue une musique populaire riche au rythme dansant. Toutefois ses mélodies ne sont pas totalement « profanes » : l’invocation des saints « syad » et de la transe « swaken » nous invitent à l’écoute attentive de cette musique pleine de mysticisme.

A l’occasion des Nuits de Ramadan, le groupe présente également une fusion entre l’art de l’Aïta et la musique des Aïssaoua.