10/02 - marche sportive au golf Pullman

Nos marche, comme je l'ai déjà dit, sont l'occasion d'échanges... et donc de connaissances nouvelles glanées ça et là. Je mourrai donc moins c.., comme l'on dit, et aujourd'hui encore Pascale -tiens, une revenante !- m'a mis au "parfum" : ce ne sont pas des mouettes dont on observe les ballets incessants sur la plage mais des goélands... Tout faux, mon brave Alain ! Et il faut que ce soit simplement aujourd'hui, après plus de six années à fréquenter les lieux et à développer sans contradiction une thèse erronée, que l'on me dévoile mon ignorance ! Alors, sitôt arrivé devant mon "piano", j'ai interrogé la "toile" et j'ai glané l'info suivante qui semble bien donner raison à mon contradicteur du jour... à moins que "la prof. de SVT" vienne me" rétablir dans mes droits" !

Enfin, revenons au départ... Pascale nous est revenue, en super forme d'ailleurs et toujours aussi souriante. Ce fut l'occasion d'avoir des nouvelles de José, apparemment au mieux de sa forme et en pleine rééducation. Sous l'impulsion de Pascale, la marche d'aujourd'hui s'annonçait un ton au dessus... Et ce fut le cas ! José, si loin de nous, mais si près de nos pensées, est fier de notre belle activité... Pas de mérite : le soleil splendidement, avait sorti sa grosse artillerie et inondait le site. La forêt n'était pas assez dense pour résister à ses salves rayonnantes et la plage donnait à l'atmosphère un petit ton estival.

Chemin faisant, Pierre continuait à être bavard et Mimi, sa "rivale", en restait bouche bée... Pascale avait cru discerner au loin la bicyclette avec laquelle elle avait semé dans les rues de la banlieue (entendez, la banlieue parisienne) les crocs menaçant d'un bouledogue qui en avait après ses mollets appétissant... Tout juste un vieux cadre sur lequel veillait son propriétaire !

Lina et ToBe, bons amis, jouaient sur le sable pendant que Ginette et Martine, la normande et la ciotadène, devisaient de choses et d'autres. Jean-Pierre avait pris les devants et attendait la troupe désorganisée sur le bord du chemin. Jean-Claude et Alain continuaient à prendre des photos de nos "exploits", sourds aux quelques jérémiades entendus ça et là sur ces clichés publiés dans le "Nouveau Jdidi", de la part de quelques pimbêches voulant passer inaperçues... Enfin, Francine et Gisèle fermaient la marche et, peut-être, trouvaient-elles que 10 km, c'est un peu long mais que 1 h 50, c'est un peu court...