- alain
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Date d'inscription : 11/04/2011
Age : 76
Localisation : EL JADIDA (Maroc)
23022017
EL Jadida :
le revêtement des voies de communication est-il lui aussi à « double vitesse » ?
le revêtement des voies de communication est-il lui aussi à « double vitesse » ?
On l'a déjà écrit dans ces colonnes mais il semble qu'il faille répéter à l'excès pour avoir l'espoir d'être entendu, un jour peut-être...
Les pluies de ces derniers jours justement, si elles ont ravivé l'espérance d'abondantes récoltes agricoles, ont désespéré les citadins jdidis. Non que nous ne soyons des habitués de cette période de l'année où « toute la pluie du ciel tombe sur nous », encore que les intempéries de cette année nous paraissent plus abondantes et que nous aimerions bien vite l'arrivée d'un doux printemps... Non, non, il ne s'agit pas de cela...
Les pluies diluviennes ramènent les désagréments d'une chaussée qui se transforme en marécage. L'écoulement des eaux pluviales demeure un casse-tête. Celles-ci ne savent où se déverser : pas de rigole, des caniveaux trop souvent non entretenus et bouchés...
Chaque année, à la même époque, c'est la même désolation : les eaux, transformant les rues en rivières, emportent l'asphalte aidées en cela par la circulation devenue intense. Des ornières, souvent énormes, se forment et mettent à mal les mécaniques, notamment les amortisseurs de nos véhicules.
Telle est la désolation de l'avenue Othmane Ibn Amane prolongée par l'avenue de la Gare, artères liaison entre le centre ville et la gare ONCF. C'est dire l'impression négative que peuvent ressentir les visiteurs, touristes ou autres, arrivant dans notre cité par le train. Sur le même axe, se trouvent les services de l'Equipement et des Transports. Depuis leur "délocalisation", la circulation et l'attroupement devant les locaux, ont fait "fleurir" de belles ornières que les automobilistes essaient d'éviter en créant une véritable compétition de gym kana...
Il ne suffit pas d'embellir le centre-ville afin de laisser une image positive de la "Deauville marocaine". Il ne suffit pas de tout miser sur son look en utilisant les meilleurs enrobés du marché : les touristes ont tôt fait de déceler ce qui est zone « tape à l'oeil » et zone mineure... Après les pluies intenses de ces derniers jours, on ne constate pas de dégradation majeure sur l'avenue Mohamed VI comme dans certaines petites rues y compris du centre-ville et les artères principales de la ville nouvelle. Y aurait-il donc deux El Jadida ?
A moins que... mais ne me laissez pas dire ou penser ce que « le qu'en dira-t-on » marocain silencieux pense et parfois colporte... je ne saurais croire en cette fable parce que je crois à l'intégrité et la vigilance de ceux qui ont pour mission la gestion de la voirie.
Les pluies de ces derniers jours justement, si elles ont ravivé l'espérance d'abondantes récoltes agricoles, ont désespéré les citadins jdidis. Non que nous ne soyons des habitués de cette période de l'année où « toute la pluie du ciel tombe sur nous », encore que les intempéries de cette année nous paraissent plus abondantes et que nous aimerions bien vite l'arrivée d'un doux printemps... Non, non, il ne s'agit pas de cela...
Les pluies diluviennes ramènent les désagréments d'une chaussée qui se transforme en marécage. L'écoulement des eaux pluviales demeure un casse-tête. Celles-ci ne savent où se déverser : pas de rigole, des caniveaux trop souvent non entretenus et bouchés...
Chaque année, à la même époque, c'est la même désolation : les eaux, transformant les rues en rivières, emportent l'asphalte aidées en cela par la circulation devenue intense. Des ornières, souvent énormes, se forment et mettent à mal les mécaniques, notamment les amortisseurs de nos véhicules.
Telle est la désolation de l'avenue Othmane Ibn Amane prolongée par l'avenue de la Gare, artères liaison entre le centre ville et la gare ONCF. C'est dire l'impression négative que peuvent ressentir les visiteurs, touristes ou autres, arrivant dans notre cité par le train. Sur le même axe, se trouvent les services de l'Equipement et des Transports. Depuis leur "délocalisation", la circulation et l'attroupement devant les locaux, ont fait "fleurir" de belles ornières que les automobilistes essaient d'éviter en créant une véritable compétition de gym kana...
Il ne suffit pas d'embellir le centre-ville afin de laisser une image positive de la "Deauville marocaine". Il ne suffit pas de tout miser sur son look en utilisant les meilleurs enrobés du marché : les touristes ont tôt fait de déceler ce qui est zone « tape à l'oeil » et zone mineure... Après les pluies intenses de ces derniers jours, on ne constate pas de dégradation majeure sur l'avenue Mohamed VI comme dans certaines petites rues y compris du centre-ville et les artères principales de la ville nouvelle. Y aurait-il donc deux El Jadida ?
A moins que... mais ne me laissez pas dire ou penser ce que « le qu'en dira-t-on » marocain silencieux pense et parfois colporte... je ne saurais croire en cette fable parce que je crois à l'intégrité et la vigilance de ceux qui ont pour mission la gestion de la voirie.
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