- CARLE
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Date d'inscription : 01/10/2017
19062020
Cette femme est infirmière depuis huit ans, actuellement au service gériatrique de l’hôpital Paul-Brousse de Villejuif (Val-de-Marne). Depuis un an, elle est plus spécifiquement cadre hospitalière faisant fonction. Elle est donc en charge d’une équipe de plusieurs infirmiers.Ce que confirme à CheckNews Thierry Fogolin, élu CGT à l’hôpital Paul-Brousse : «Elle fait même office de référente dans les services lorsque les cadres sont absents.» Il ajoute qu’elle a «fait partie de façon très active» de la gestion de crise. «Elle a été exposée à tel point qu’elle a attrapé le Covid.»
Une fois de plus , cette chaine désinforme et manipule l'opinion.On imagine déjà la stratégie mise en place pour les élections de 2022.
En 2015, le journaliste Hubert Huertas, passé par France Culture et Mediapart, publie " L’effet BFM " en 40 pages. Il y évoque une « BFMisation » qui serait exprimée à l’extrême par BFM TV mais qui serait, selon lui, l’évolution générale de l’information, avec un débordement sur les mondes politiques, économiques et sociaux. Il désigne ainsi le « spectacle » de l’information (« être partout, tout de suite, plus vite que les autres »), son exagération et son caractère mensonger, amplifié par l’effet de la concurrence et guidé par le souci d’occuper le temps d’antenne sans interruption. Il affirme que cette situation se retrouve notamment dans les moments de tension et suggère que la chaîne cherche à les maintenir à coups d’expertises et d’intervenants, le tout illustré par des images tournant en boucle. L’auteur soutient que l’annonce, ensuite démentie, de la mort de Martin Bouygues par l’AFP en 2015, est un exemple de cet effet sur les autres médias car « elle est reprise les yeux fermés par toute la presse, le web, les réseaux sociaux ». Thierry Devars, chercheur à la Celsa, estime que la chaîne cristallise sur elle les critiques adressées au paysage médiatique contemporain : impératif du direct, dégradation de la parole politique, prédominance du « sensationnalisme » sur le fond du débat... Un sensationnalisme également relevé par l'historien Gérard Noiriel, pour qui la chaîne privée d'information en continu « a porté au paroxysme la fait-diversion de l'actualité pour élargir son audience ». Pour Les Inrockuptibles, elle se caractérise par un « traitement à chaud, entre impro et pronostics, de l’actu-spectacle, bulle d’éditorialistes déconnectés, qui vivent dans un monde fait de courbes et de courses aux petits chevaux ».
Sources:Libération,Wikipédia.
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