- alain
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23/07 - Nuits du Ramadan : Marianne Aya Omac
Mar 09 Juil 2013, 17:37
23/07 - Nuits du Ramadan : Marianne Aya Omac
Parc Mohamed V
22 heures
Parc Mohamed V
22 heures
Noche de poesia a écrit:Auteur Compositeur, guitariste chanteuse, Marianne est d'abord une voix : Chaude, puissante, sensible, parfois douce, parfois rauque jusqu'à l'éraillement.
Elle développe sa voix dans les rues de Montpellier et d'ailleurs, mais aussi et surtout au sein de la « Gospelize-it Mass Choir », meilleure chorale amateur de Gospel en Europe, où elle chantera comme soliste durant 6 années et s'appropriera la qualité essentielle de cette culture musicale :
L'implication totale du corps et de l'esprit au service de la sincérité vocale.
C'est grâce à de nombreux voyages notamment en Amérique latine et plusieurs années de résidence dans le quartier gitan de Candolle à Montpellier qu‘elle approfondit son amour et ses connaissances de la musique latine et gitane.
Fondatrice et moteur du groupe GINKOBILOBA, elle décide d'arrêter ce projet après 2 albums et 8 années de succès grandissant...par souci d'intégrité, en accord avec son évolution personnelle et musicale.
Aprés 13 années de scènes et prés d'un millier de concerts à son actif , forte de toutes ses expériences et de toutes ces rencontres, elle propose aujourd'hui un métissage musical enrichi de 3 langues (Français Anglais Espagnol). Ces différentes musicalité s'harmonisent pour composer un répertoire varié aux accents latino-méditérranéens passant par le gospel et la chanson française.
Personnage charismatique, en constante recherche d'authenticité, Marianne joue maintenant sous son nouveau nom de scène Marianne Aya Omac. Seule, en Quartette (basse, batterie, guitare), en quintette (Chœur, trio de cordes) ou avec le choeur de la buèges, ses concerts intimes et intenses font rimer féminité avec humanité…
Abidat Rma
En voie de disparition, l’art des Abidat Rma constitue un legs unique qui associe chorégraphie et chant. Etroitement lié aux rites de chasse et au divertissement, il n’est pas dépourvu de spiritualité.
Un groupe de jeunes Jdidi a « importé » cet art dans le Doukkala et participe ainsi à sa sauvegarde, loin de son territoire d’origine aux environs de Khouribga.
Un groupe de jeunes Jdidi a « importé » cet art dans le Doukkala et participe ainsi à sa sauvegarde, loin de son territoire d’origine aux environs de Khouribga.
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