- CARLE
- Messages : 497
Date d'inscription : 01/10/2017
10022020
A son arrivée au pouvoir en 2017 Macron a supprimé dans ses ordonnances travail plusieurs critères de pénibilité.
Ce fut un premier retour en arrière avec les fameuses ordonnances prises juste après son élection. Plusieurs critères de pénibilité sont tout bonnement supprimés : exit le port de charges lourdes (129 800 personnes concernées en 2016), les vibrations (46 100 personnes), les postures douloureuses (86 800 personnes) et la présence d’agents chimiques dangereux (43 400 personnes exposées). Ce qui met de côté près de 300 000 personnes en tout, principalement des ouvriers, travaillant dur mais se retrouvant exclues d’un départ anticipé en retraite.”Avec sa retraite à point il nie, lui, la macronie et une bonne partie de la droite LR par avanie les études de l’INSEE et une étude statistique de la CNAV faite en 2015 qui montre de façon précise la longévité des hommes en fonction de leur niveau de vie et de leur statut social.
De tout cela visiblement dans sa retraite à point il n’en a pas fait cas.
Que depuis 1976 l’inégalité d’espérance de vie entre les cadres et les ouvriers n’ai pas diminué celà le laisse indifférent.L’humanité,le partage, la solidarité ces valeurs émanant du CNR (Conseil National de la Résistance)insufflant la retraite par répartition sont passées en pertes et profits, surtout en profits à venir pour BlackRock et les assureurs en embuscades
La macronie Macron et son premier ministre Phillippe ne sont que des menteurs, des falsificateurs quand il annoncent une retraite par point fidèle au Conseil National de la Résistance.L’abus de Language la déformation des mots, ils en sont les maîtres.Voici ce que dit Michel Pigenet :
‘’La comparaison est pour le moins osée. Les réformes de la Libération, dont relève la sécurité sociale, participent d’une refondation de la République, à travers un nouveau pacte social qui ne se paie pas seulement de mots. La Constitution qualifie la République de « démocratique et sociale » et les réformes en témoignent par les protections et garanties qu’elles apportent. Elles ne sont pas imposées, mais négociées, co-construites, en premier lieu avec les syndicats, qui sont alors reconnus comme des interlocuteurs privilégiés. Assimiler le contenu et les modalités de ce qui se met en place à la Libération à ce qu’il se passe aujourd’hui participe pour le moins d’un abus de langage.’'(1)
Sources infographiques:INSEE,CNAV.
(1)Michel Pigenet est professeur émérite d’histoire à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Ce fut un premier retour en arrière avec les fameuses ordonnances prises juste après son élection. Plusieurs critères de pénibilité sont tout bonnement supprimés : exit le port de charges lourdes (129 800 personnes concernées en 2016), les vibrations (46 100 personnes), les postures douloureuses (86 800 personnes) et la présence d’agents chimiques dangereux (43 400 personnes exposées). Ce qui met de côté près de 300 000 personnes en tout, principalement des ouvriers, travaillant dur mais se retrouvant exclues d’un départ anticipé en retraite.”Avec sa retraite à point il nie, lui, la macronie et une bonne partie de la droite LR par avanie les études de l’INSEE et une étude statistique de la CNAV faite en 2015 qui montre de façon précise la longévité des hommes en fonction de leur niveau de vie et de leur statut social.
De tout cela visiblement dans sa retraite à point il n’en a pas fait cas.
Que depuis 1976 l’inégalité d’espérance de vie entre les cadres et les ouvriers n’ai pas diminué celà le laisse indifférent.L’humanité,le partage, la solidarité ces valeurs émanant du CNR (Conseil National de la Résistance)insufflant la retraite par répartition sont passées en pertes et profits, surtout en profits à venir pour BlackRock et les assureurs en embuscades
La macronie Macron et son premier ministre Phillippe ne sont que des menteurs, des falsificateurs quand il annoncent une retraite par point fidèle au Conseil National de la Résistance.L’abus de Language la déformation des mots, ils en sont les maîtres.Voici ce que dit Michel Pigenet :
‘’La comparaison est pour le moins osée. Les réformes de la Libération, dont relève la sécurité sociale, participent d’une refondation de la République, à travers un nouveau pacte social qui ne se paie pas seulement de mots. La Constitution qualifie la République de « démocratique et sociale » et les réformes en témoignent par les protections et garanties qu’elles apportent. Elles ne sont pas imposées, mais négociées, co-construites, en premier lieu avec les syndicats, qui sont alors reconnus comme des interlocuteurs privilégiés. Assimiler le contenu et les modalités de ce qui se met en place à la Libération à ce qu’il se passe aujourd’hui participe pour le moins d’un abus de langage.’'(1)
Sources infographiques:INSEE,CNAV.
(1)Michel Pigenet est professeur émérite d’histoire à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Commentaires
Aucun commentaire.
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum