Accueil
Galerie
Rechercher
S'enregistrer
Connexion
Résider au Maroc : les démarches
alain- Messages : 11587
Date d'inscription : 11/04/2011
Age : 76
Localisation : EL JADIDA (Maroc)
06072022
D'une semaine à l'autre :
06 juillet 2022
France - Bordeaux : les Girondins, ça sent le sapin !
Le mythique club de football des Girondins de Bordeaux est à la dérive. Une mauvaise saison le voit être relégué très sportivement en ligue 2, mais s'ajoute à l'addition déjà salée, une nouvelle note insupportable : la mauvaise gestion du club l'amène à ne plus être dans les clous aux yeux de la DNCG (division nationale de contrôle de gestion), la sentence étant une rétrogradation en Nationale 1. Les dés étaient pipés dès l'instant où les appétits d'un fonds de pension américain s'est mêlé de l'affaire il y a 3 ou 4 ans, un fonds qui a tiré "la substantifique moelle" du club-phare et qui laisse désormais 130 personnes au chômage. Le foot business laisse ses traces... Le club se dirige vers la liquidation, la relégation en Nationale 1 ne lui permettant pas de lui assurer les recettes suffisantes pour le financement de la saison 2022-2023.
Maroc - polémique autour d'une "approbation royale" supposée
La ministre de l'Economie et des finances a voulu mettre en avant l'approbation supposée du roi Mohamed VI concernant les mesures prises par le gouvernement Akkannouch sur la hausse des prix et le programme mis en oeuvre, un programme "approuvé par le Roi", a-t-elle souligné. Elle n'a pas manqué de se faire "ramasser" par les députés de l'opposition notamment Mohamed Ouzzine du MP (Mouvement populaire) en ces termes : “le roi appartient à tous les Marocains, majorité et opposition” et “le programme gouvernemental est approuvé et adopté par le Parlement, pas par le roi”. En effet, le roi, de part la Constitution, est au dessus des contingences partisanes.
La ministre de l'Economie et des finances a voulu mettre en avant l'approbation supposée du roi Mohamed VI concernant les mesures prises par le gouvernement Akkannouch sur la hausse des prix et le programme mis en oeuvre, un programme "approuvé par le Roi", a-t-elle souligné. Elle n'a pas manqué de se faire "ramasser" par les députés de l'opposition notamment Mohamed Ouzzine du MP (Mouvement populaire) en ces termes : “le roi appartient à tous les Marocains, majorité et opposition” et “le programme gouvernemental est approuvé et adopté par le Parlement, pas par le roi”. En effet, le roi, de part la Constitution, est au dessus des contingences partisanes.
Royaume-Uni - Johnson secoué mais pas encore coulé
Les attouchements sexuels du ministre Chris Pincher sur deux hommes qui a provoqué sa démission, ont des répercutions sur la crédibilité de Johnson qui n'a pas convaincu deux ministres démissionnaires même après son "méa -culpa" où il a reconnu une erreur quand il a nommé Pincher en février dernier. Malgré tout, on se demande bien si Johnson va réussir à surmonter cette nouvelle vague.
Maroc - la presse marocaine indépendante, financièrement fragile mais acteur majeur de l'information
Bayane Al Yaoum révèle l'étude menée]autour du «paysage médiatique durant la crise covid» et qui a dévoilé que les supports de presse papier conservent leur statut d'acteur majeur dans ce volet. Selon l'étude, la presse indépendante et partisane a contribué pour beaucoup dans la lutte contre les rumeurs et les «fake news» et reste lisible par une bonne partie des marocains. L'étude révèle cependant la «fragilité» de la situation financière de ces supports en temps de crise.
Bayane Al Yaoum révèle l'étude menée]autour du «paysage médiatique durant la crise covid» et qui a dévoilé que les supports de presse papier conservent leur statut d'acteur majeur dans ce volet. Selon l'étude, la presse indépendante et partisane a contribué pour beaucoup dans la lutte contre les rumeurs et les «fake news» et reste lisible par une bonne partie des marocains. L'étude révèle cependant la «fragilité» de la situation financière de ces supports en temps de crise.
Inde - la "justice du bulldozer"
Une nouvelle forme de châtiment s'instaure en Inde à l'encontre des musulmans : on démolit leur maison au moyen d'un bulldozer, de quoi faire taire toutes sortes de répression. C'est une pratique qui se met en route, initiée par le parti nationaliste au pouvoir.
Maroc - Casablanca : on blanchit !
Il ne s'agit pas d'"argent sale" quoique, il y a sûrement du boulot en ce domaine ! Non, il est question dans l'article de Assahraa Al Maghribia du blanchiment des façades du centre historique décrété par la nouvelle maire de la ville, Nabila Rmili, dès son élection. Plus de 3 000 façades ont été ainsi repeintes. Lors d’une journée d’étude organisée mardi par la société de développement local Casablanca Patrimoine, Rmili a annoncé la poursuite de cette initiative sous la forme d’un programme global, doté de 60 MDH, qui vise à renforcer l’attractivité du centre-ville à travers la réhabilitation des façades des édifices historiques et la création de parcours touristiques.
Il ne s'agit pas d'"argent sale" quoique, il y a sûrement du boulot en ce domaine ! Non, il est question dans l'article de Assahraa Al Maghribia du blanchiment des façades du centre historique décrété par la nouvelle maire de la ville, Nabila Rmili, dès son élection. Plus de 3 000 façades ont été ainsi repeintes. Lors d’une journée d’étude organisée mardi par la société de développement local Casablanca Patrimoine, Rmili a annoncé la poursuite de cette initiative sous la forme d’un programme global, doté de 60 MDH, qui vise à renforcer l’attractivité du centre-ville à travers la réhabilitation des façades des édifices historiques et la création de parcours touristiques.
Maroc - à l'approche de l'Aïd Al Adha, des prix de transports "au delà du raisonnable"
C'est un phénomène qui s'observe à l'approche de chaque fête : les transports de voyageurs ont une propension à augmenter. Cette fois, les transporteurs ont un argument de taille : les hausses successives du gasoil les contraignent à revoir leurs tarifs. Toutefois, Al Massae constat qu'il n'y a pas foule à la gare routière de Casablanca contrairement aux autres années et cite, à titre d'exemple, un tarif aller simple entre Casablanca et Kelâat M'Gounat : 350 dirhams, un tarif jugé au-delà du raisonnable par les voyageurs.
Partager cet article sur :
Commentaires
Aucun commentaire.
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum