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Résider au Maroc : les démarches
CARLE- Messages : 497
Date d'inscription : 01/10/2017
02032021
 | Chercher les causes migratoires et les coupables est une mauvaise piste quand il s’agit d’enfants mineurs isolés ? La migration d’enfants marocains ou de jeunes adultes n’est pas une fatalité et les facteurs de migration sont nombreux. Un certain nombre d’études et cela depuis au moins 2004 relèvent plusieurs facteurs déclenchants : ils sont économiques, politiques, sociaux, éducatifs, culturels, familiaux, issus également de conflits armés, Pour autant, depuis 2004, des rapports ont été établis faisant état des causes de ces migrations. Des hommes politiques, des gens de la société civile, des associations, des syndicats ont proposés des réformes pertinentes pour juguler cette hémorragie des forces vives : sans résultat. Il y en a même qui organisent cette migration et d’autres qui signent. Voici un extrait sur la migration internationale 2018-2019 issu du commissariat au plan du Maroc de juillet 2020. |
"Le contexte international est marqué par une dynamique et un engagement sans précédent pour la migration, concrétisés par la Déclaration de New York, le Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, et la place centrale qu’elles occupent dans l’agenda des Objectifs du développement durable (ODD). L‘engagement du Maroc, illustré par des prises de position au plus haut niveau, pour une approche cohérente, globale, humaniste et responsable, est apprécié et reconnu par l’Union Africaine et par la communauté internationale. Le Maroc s’est vu ainsi confier le leadership de la gestion du volet Migration de l'Union Africaine, en la personne du Souverain, après sa coprésidence avec l’Allemagne de la 11ème édition du Forum global de la migration et du développement, qui a abouti à l’adoption du Pacte mondial sur la migration à Marrakech en décembre 2018".
17 ans pour réagir : enfin ?
Pour le système éducatif, familial, culturel, sanitaire il faut de l’argent. De l’argent il y en a. (la vieco. ma 6 janvier 2020)
Au 10 octobre 2020, le Royaume est toujours un mauvais élève aux yeux des partenaires européens en matière de lutte contre l’évasion fiscale. A cette date, l’Union européenne classe encore le pays sur sa liste grise commune des paradis fiscaux.
«Nous espérons sortir de cette zone bientôt, puisque le pays a concédé beaucoup d’efforts et a adopté une panoplie de mesures pour améliorer son image et son classement sur ce registre», affirme Mohamed Hdid, président de la commission fiscalité de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM).L’ÉVASION FISCALE ET LA FRAUDE DES MULTINATIONALES FONT PERDRE, CHAQUE ANNÉE, ENVIRON 2,5 MILLIARDS DE DOLLARS AU MAROC, SELON OXFAM.
A suivre: remarques et conclusions.Sources : L’Express, Médias 24.com, le Monde diplomatique, tanmia.ma, infomigrants.net, challenge.ma, la vieeco.com
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