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Résider au Maroc : les démarches
alain- Messages : 11588
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Localisation : EL JADIDA (Maroc)
16012022
16 décembre
Maroc – Omicron : un optimisme mesuré et démontré
Suivons la rédaction de Media24 qui veut nous faire partager son optimisme quant à l'évolution de la vague « Omicron » au Maroc. Les journalistes, armés d'une argumentation chiffrée, veulent croire au bout du tunnel et, d'entrée, nous assènent une observation : « Depuis plus d’une semaine, les chiffres ne sont plus sur la violente poussée de la semaine précédente. » C'est qu'en effet, 8.826 cas ce samedi 15 janvier 2022 ont été constatés contre 8.501 la veille. Et 8 338 jeudi. On n’est plus dans le triplement tous les 4 jours et la ville de Casablanca, la plus impactée, connaît même depuis trois jours une décrue des nouveaux cas (2 827 samedi, 2 903 la veille et 3 513 jeudi). Le taux de positivité des tests reste relativement stable cette semaine (24,38 %) alors même que le nombre de tests effectués tend à augmenter (36 203 samedi). En réanimation et soins intensifs, on compte 464 hospitalisations, dont 107 en 24 heures (103 la veille). 16 sont sous ventilation invasive. Le taux d’occupation des lits de réanimation est de 8,8%. Une hirondelle ne fait pas le printemps mais elle en est la messagère...
France - Amende anti-sociale : l'obligation des collectivités territoriales de faire travailler leurs agents 1607 heures par an
A compter du 1er janvier 2022, les collectivités territoriales ont l'obligation de faire travailler leurs agents 1607 heures par an. Les préfets pourront dresser une amende à l'encontre de celles qui ne s'y conformeraient pas ! Le roi a dit...
Maroc - Benkirane positif
L'ancien chef de gouvernement et secrétaire général du PJD a été testé positif et se trouve à l'isolement dans sa résidence depuis deux jours. Omicron s'attaque même aux politiques !
France - le feuilleton continue : Jean-Jacques Bourdin accusé d'agression sexuelle
Les langues se délient... L'animateur vedette est sous les feux de l'actualité : une ancienne collaboratrice a déposé plainte contre lui pour agression sexuelle lors d'un déplacement professionnel dans une piscine d'un hôtel de Calvi en... 2013 ! Une affaire qui pourrait-être proscrite. Tout n'est donc que sexe dans ce "beau monde" ?
Maroc - Omicron responsable d'une moindre croissance
Les mesures restrictives prises par le gouvernement marocain pour endiguer la vague de contaminations au variant Omicron pèseront sur la croissance en 2022, affirme le département recherche de la célèbre agence de notation. Conséquence: la croissance du PIB devrait s’établir à 3,2% en 2022, au lieu d’une prévision initiale de 3,4%. C'est fou la puissance d'une si petite "bestiole"...
France - déficit public : mieux que prévu
Le Maire s'en était réjoui l'autre jour : le déficit public 2021 attendu à 8,2 % du PIB serait "significativement inférieur à 8 %". Son bras droit, le ministre des Comptes publics, Olivier Dussopt, a déclaré au Journal du dimanche qu'en fait il sera "proche de 7 %". Et le clairon de claironner : cette amélioration est due "à des recettes fiscales plus importantes d'attendues" grâce au redressement des comptes de la sécurité sociale qui ont engrangé des cotisations supplémentaires du fait de la reprise et de l'embauche. Cela va permettre, toujours selon le ministre, de tenir les engagements de la France en matière de déficit à 5 % en 2022 et 3 % en 2027. Ce que l'on ne nous dit pas, c'est comment on va tenir ces engagements : en supprimant des lits hospitaliers ou en réduisant les remboursements des prestations maladie ? Ou les deux ? On en parlera après élections !
Tonga - alerte terminée
Le tsunami provoqué par la puissante éruption d’un volcan sous-marin des îles Tonga, dans l’océan Pacifique sud, a causé des dégâts importants mais aucune victime, selon la Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern dimanche, tandis que la menace était déclarée terminée.
Maroc - la guéguerre continue
Le patron de l’USFP, Driss Lachgar, a riposté à la virulente attaque du chef des islamistes, Abdelilah Benkirane, en interdisant toute coordination des socialistes avec le PJD au sein de la chambre des représentants. La guerre entre les deux monstres sacrés de la politique marocaine ne date pas d'hier : c'est à la suite des élections de 2016 que l'USFP, mécontente de la part congrue à ses yeux que lui voulait réserver l'islamiste, a bloqué la formation du gouvernement et fait éjecter Benkirane remplacé par El Othmani qui a traité Lachgar de "traitre". La guéguerre n'en finit pas mais elle ne durera pas 100 ans !
Etats-Unis - l'obsession de Trump
Donald Trump a répété qu’il avait gagné la dernière élection présidentielle aux Etats-Unis et critiqué les « politiciens de Washington » qui veulent « contrôler » les vies des Américains, samedi lors d’un meeting devant ses partisans en Arizona. Il a de la suite dans les idées !
Tunisie - la "potion magique" du FMI
C'est du classique ! En quête de financements internationaux, la Tunisie se tourne vers les institutions de Bretton Woods qui, comme à l'accoutumée, posent des conditions draconiennes pour un financement, conditions qui impacteront la vie des Tunisiens : privatisations des entreprises d'Etat, réduction du nombre de fonctionnaires, réduction des programmes sociaux (retraites, couverture maladie). On a vu une telle "potion magique" à l'oeuvre en Grèce par exemple. Cela signifie la mise sous tutelle du pays par le FMI. Dans ce contexte, on comprend mieux la politique répressive qui a mené le président Kais Saied à prendre tous les pouvoirs : il préparait la "danse du FMI". Toutefois, les peuples peuvent défaire ce que les institutions leur ont imposé...
Maroc - Que faire en cas de contamination ?
Maroc - Que faire en cas de contamination ?
1. Isolement
Pour quelqu’un en bonne santé, sans facteur de risque, il faut s’isoler dix jours au Maroc. Ce délai d’isolement a été ramené à sept jours dans la majorité des pays et pour les vaccinés (sans test négatif obligatoire à l’issue de ce délai), cela peut être réduit à cinq jours avec un test négatif. Pour les personnes non vaccinées, le délai est étendu à 10 jours d’isolement, soit sept jours avec un test négatif.
2. Contagiosité
Normalement, on ne fait pas de tests après sept jours parce que généralement la contagiosité s’étale deux jours avant et cinq jours après les symptômes. Après cinq jours et un test PCR négatif, une personne peut donc sortir de son isolement mais en faisant très attention aux gestes barrières pendant cinq jours de plus. Après 10 jours, on ne fait plus de PCR, car la majorité des personnes ne sont plus contagieuses; celles qui gardent une petite quantité de virus, la charge n’est pas apte à contaminer.
Si après dix jours, on tombe sur une PCR positive, il s’agit d’un débris de virus qui n’est donc pas vivant et ne peut se multiplier. Si on a toujours de la fièvre ou de la toux etc, il faut continuer à s’isoler. La perte du goût et de l’odorat qui persiste n’est pas facteur de contagiosité.
3. Traitement
Les études médicales recommandent de rester chez soi, boire beaucoup d’eau; si on a de la fièvre, prendre un peu de paracétamol et surtout avoir un oxymètre. Il faut également déclarer les contacts. Si on a la possibilité chez soi, utiliser une salle de bain et un toilette à part, car le virus peut circuler dans l’air. Ouvrir les fenêtres sur la rue et non pas sur la maison. Respecter la distanciation sociale et le port du masque si on vit à plusieurs. Aérer la chambre et la maison continuellement.
Chaque personne positive doit avoir un oxymètre chez soi, pas seulement celles qui ont des problèmes respiratoires. Généralement, 80% des gens se rétablissent sans problème, 15% ont besoin d’une petite intervention médicale ou d’oxygène et 5% vont en réanimation ou soins intensifs.
Quand on a l’hypoxémie, généralement on a une dyspnée. Avec le covid-19, on a le cas spécifique de l'
2. Contagiosité
Normalement, on ne fait pas de tests après sept jours parce que généralement la contagiosité s’étale deux jours avant et cinq jours après les symptômes. Après cinq jours et un test PCR négatif, une personne peut donc sortir de son isolement mais en faisant très attention aux gestes barrières pendant cinq jours de plus. Après 10 jours, on ne fait plus de PCR, car la majorité des personnes ne sont plus contagieuses; celles qui gardent une petite quantité de virus, la charge n’est pas apte à contaminer.
Si après dix jours, on tombe sur une PCR positive, il s’agit d’un débris de virus qui n’est donc pas vivant et ne peut se multiplier. Si on a toujours de la fièvre ou de la toux etc, il faut continuer à s’isoler. La perte du goût et de l’odorat qui persiste n’est pas facteur de contagiosité.
3. Traitement
Les études médicales recommandent de rester chez soi, boire beaucoup d’eau; si on a de la fièvre, prendre un peu de paracétamol et surtout avoir un oxymètre. Il faut également déclarer les contacts. Si on a la possibilité chez soi, utiliser une salle de bain et un toilette à part, car le virus peut circuler dans l’air. Ouvrir les fenêtres sur la rue et non pas sur la maison. Respecter la distanciation sociale et le port du masque si on vit à plusieurs. Aérer la chambre et la maison continuellement.
Chaque personne positive doit avoir un oxymètre chez soi, pas seulement celles qui ont des problèmes respiratoires. Généralement, 80% des gens se rétablissent sans problème, 15% ont besoin d’une petite intervention médicale ou d’oxygène et 5% vont en réanimation ou soins intensifs.
Quand on a l’hypoxémie, généralement on a une dyspnée. Avec le covid-19, on a le cas spécifique de l'
happy hypoxémie », c’est-à-dire qu’en cinq minutes, la personne descend à 65, soit une saturation en oxygène très basse sans que son corps ait manifesté de signe d’alerte. Généralement, on a 12h pour arriver en réanimation.
Avoir un oxymètre permet aussi d’être rassuré car on mesure régulièrement son taux d’oxygène, la norme étant 95%. Quand on remarque que le taux descend progressivement, il faut appeler l’hôpital.
Quand on est diabétique ou atteint de maladies chroniques, il existe d’autres traitements comme les anticorps monoclonaux, les antiviraux, à prendre avant les complications.
Ces recommandations sont valables pour les enfants et adolescents positifs au covid-19. (source : H24info)
Avoir un oxymètre permet aussi d’être rassuré car on mesure régulièrement son taux d’oxygène, la norme étant 95%. Quand on remarque que le taux descend progressivement, il faut appeler l’hôpital.
Quand on est diabétique ou atteint de maladies chroniques, il existe d’autres traitements comme les anticorps monoclonaux, les antiviraux, à prendre avant les complications.
Ces recommandations sont valables pour les enfants et adolescents positifs au covid-19. (source : H24info)
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